Tartuffe
1. Entrée en scène de l’hypocrite
2. Conflit entre Tartuffe et Dorine
3. Annonce de la passion de Tartuffe pour Elmire
1. Entrée en scène de l’hypocrite
Didascalie : « apercevant Dorine » > Hypocrisie de Tartuffe qui a besoin d’un publique pour
montrer sa fausse discipline et sa fausse générosité > comique de geste
Annonce le théâtre dans le théâtre Tartuffe joue un rôle grossier de dévot > source de
comique que l’on ne peut que supposé ici
Rythme binaire rapprochant « haire » avec « discipline » > instruments de mortification >
dénonciation de l’hypocrisie
Exclamation péjorative de Dorine : « Que d’affectation et de forfanterie ! » > Comique de
situation : exclamation prononcé comme une aparté mais dite suffisamment fort pour que
Tartuffe l’entende
. Critique aussi accentué par la redondance : « affectation et forfanterie » > deux termes
servant à désigner le manque de naturel de Tartuffe
C : ce premier mouvement sert à faire éclater l’hypocrisie de Tartuffe aux yeux du publique qui ne
l’avait encore jamais vu et qui ne se basait que sur la description faite par les personnages. Tartuffe
se met en scène en homme pieux
2. Conflit entre Tartuffe et Dorine
Didascalie > on peut imaginer l’air exagérément choqué de Tartuffe > le geste est aussi amusant car
il est soudain (en témoigne les …) > comique de geste, Tartuffe est ridicule
Exclamation et interjection : « Ah ! » > Tartuffe exagère son indignation > démontre l’hypocrisie du
faux dévot
Hyperboles : « Couvrez ce sein que je ne saurais voir » > excès de pruderie > dénonciation de
l’hypocrisie > Tartuffe = mauvais comédien qui en fait trop > jeu sur la grivoiserie
Lexique du péché : « âmes […] blessées », « coupables pensées », « tentation » > Décolleté de
Dorine = diabolique > L’affectation de pudeur est rendue ridicule par les exagérations
+ Hyperbole : « blessées » > accentue l’accusation d’être impudique
+ Périphrase : « de pareils objets » > Tartuffe se refuse même à désigner la poitrine de Dorine
Métaphore : « Je ne sait quelle chaleurs vous monte » > Explicite, se moque des désirs de Tartuffe >
effet comique reposant sur la grivoiserie
Hyperbole : « nu du haut jusque en bas » > On peut imaginer que la comédienne insiste sur le
physique déplaisant de Tartuffe (par un regard de haut en bas) > comique de mot
Exclamation > indignation de Dorine
Opposition : « certes » et « mais » + « je » et « vous » > Opposition entre le naturel de Dorine et
l’hypocrisie de Tartuffe > il est le véritable coupable > l’homme qui a des désirs immoraux
rend la femme responsable
Impératif : « Mettez dans vos discours ... » > l’ordre démontre la défaite de Tartuffe > façon de
montrer la puissance de comique en tant que révélateur de l’hypocrisie et du mensonge
« Modestie » > ici = pudeur > rappel que ce passage tourne autour des allusion au corps
1. Entrée en scène de l’hypocrite
2. Conflit entre Tartuffe et Dorine
3. Annonce de la passion de Tartuffe pour Elmire
1. Entrée en scène de l’hypocrite
Didascalie : « apercevant Dorine » > Hypocrisie de Tartuffe qui a besoin d’un publique pour
montrer sa fausse discipline et sa fausse générosité > comique de geste
Annonce le théâtre dans le théâtre Tartuffe joue un rôle grossier de dévot > source de
comique que l’on ne peut que supposé ici
Rythme binaire rapprochant « haire » avec « discipline » > instruments de mortification >
dénonciation de l’hypocrisie
Exclamation péjorative de Dorine : « Que d’affectation et de forfanterie ! » > Comique de
situation : exclamation prononcé comme une aparté mais dite suffisamment fort pour que
Tartuffe l’entende
. Critique aussi accentué par la redondance : « affectation et forfanterie » > deux termes
servant à désigner le manque de naturel de Tartuffe
C : ce premier mouvement sert à faire éclater l’hypocrisie de Tartuffe aux yeux du publique qui ne
l’avait encore jamais vu et qui ne se basait que sur la description faite par les personnages. Tartuffe
se met en scène en homme pieux
2. Conflit entre Tartuffe et Dorine
Didascalie > on peut imaginer l’air exagérément choqué de Tartuffe > le geste est aussi amusant car
il est soudain (en témoigne les …) > comique de geste, Tartuffe est ridicule
Exclamation et interjection : « Ah ! » > Tartuffe exagère son indignation > démontre l’hypocrisie du
faux dévot
Hyperboles : « Couvrez ce sein que je ne saurais voir » > excès de pruderie > dénonciation de
l’hypocrisie > Tartuffe = mauvais comédien qui en fait trop > jeu sur la grivoiserie
Lexique du péché : « âmes […] blessées », « coupables pensées », « tentation » > Décolleté de
Dorine = diabolique > L’affectation de pudeur est rendue ridicule par les exagérations
+ Hyperbole : « blessées » > accentue l’accusation d’être impudique
+ Périphrase : « de pareils objets » > Tartuffe se refuse même à désigner la poitrine de Dorine
Métaphore : « Je ne sait quelle chaleurs vous monte » > Explicite, se moque des désirs de Tartuffe >
effet comique reposant sur la grivoiserie
Hyperbole : « nu du haut jusque en bas » > On peut imaginer que la comédienne insiste sur le
physique déplaisant de Tartuffe (par un regard de haut en bas) > comique de mot
Exclamation > indignation de Dorine
Opposition : « certes » et « mais » + « je » et « vous » > Opposition entre le naturel de Dorine et
l’hypocrisie de Tartuffe > il est le véritable coupable > l’homme qui a des désirs immoraux
rend la femme responsable
Impératif : « Mettez dans vos discours ... » > l’ordre démontre la défaite de Tartuffe > façon de
montrer la puissance de comique en tant que révélateur de l’hypocrisie et du mensonge
« Modestie » > ici = pudeur > rappel que ce passage tourne autour des allusion au corps
