séquence 1 séance 2 texte de g. sand
Activité 1:
1. G.Sand enfant occupait-elle ses nuits? ses journées?
G.Sand enfant passait ses nuits à lire et à écrire, comme le mentionne le texte : "Étant fille
de deux êtres d'une beauté parfaite, j'aurais dû ne pas dégénérer, et ma pauvre mère, qui
estimait la beauté plus que tout, m'en faisait souvent de naïfs reproches. Pour moi, je ne pus
jamais m'astreindre à soigner ma personne."
2. Qu'est-ce que ce texte et son écriture révèlent de la personnalité de l'auteur?
Le texte révèle que l'auteur (George Sand) était une personne indépendante d'esprit, qui
valorisait plus l'intellect et l'authenticité que la conformité aux normes de beauté de son
époque. Elle était déterminée à suivre sa propre voie, même si cela signifiait ne pas se
conformer aux attentes sociales en matière d'apparence : "Je n'eus qu'un instant la fraîcheur
et jamais la beauté."
3. Le comportement de G.Sand est-il conforme aux idées de son époque? Justifiez votre
réponse en vous appuyant sur le texte.
Non, le comportement de G.Sand n'était pas conforme aux idées de son époque en ce qui
concerne la beauté et les soins personnels. Elle rejetait les pratiques qui étaient courantes à
l'époque pour préserver la beauté, préférant plutôt se consacrer à la lecture, à l'écriture et à
l'indépendance intellectuelle. Elle explique clairement son point de vue en disant : "Se priver
de travail pour avoir l'œil frais, ne pas courir au soleil quand ce bon soleil de Dieu vous attire
irrésistiblement, ne point marcher dans de bons gros sabots de peur de se déformer le
cou-de-pied, porter des gants, c'est-à-dire renoncer à l'adresse et à la force de ses mains,
se condamner à une éternelle gaucherie, à une éternelle débilité, ne jamais se fatiguer
quand tout nous commande de ne point nous épargner, vivre enfin sous une cloche pour
n'être ni hâlée, ni gercée, ni flétrie avant l'âge, voilà ce qu'il me fut toujours impossible
d'observer."
4. Quelles réflexions sur la beauté G.Sand mène-t-elle dans le dernier paragraphe? Sur quel
ton le fait-elle? Expliquez.
Dans le dernier paragraphe, George Sand réfléchit sur l'impact de la beauté et de la
laideur sur les relations humaines. Elle suggère que la beauté peut susciter des attentes et
des préjugés, tandis que la laideur peut repousser les gens. Elle adopte un ton pragmatique
en déclarant qu'il vaut mieux avoir un aspect qui n'éblouit ni n'effraye personne, car cela
facilite les relations amicales : "Il vaut mieux avoir une bonne figure qui n'éblouit et n'effraye
personne, et je m'en suis bien trouvée avec mes amis des deux sexes."
Activité 2:
Pensez-vous que les thèmes abordés par G.Sand sont toujours d'actualité à notre époque?
Activité 1:
1. G.Sand enfant occupait-elle ses nuits? ses journées?
G.Sand enfant passait ses nuits à lire et à écrire, comme le mentionne le texte : "Étant fille
de deux êtres d'une beauté parfaite, j'aurais dû ne pas dégénérer, et ma pauvre mère, qui
estimait la beauté plus que tout, m'en faisait souvent de naïfs reproches. Pour moi, je ne pus
jamais m'astreindre à soigner ma personne."
2. Qu'est-ce que ce texte et son écriture révèlent de la personnalité de l'auteur?
Le texte révèle que l'auteur (George Sand) était une personne indépendante d'esprit, qui
valorisait plus l'intellect et l'authenticité que la conformité aux normes de beauté de son
époque. Elle était déterminée à suivre sa propre voie, même si cela signifiait ne pas se
conformer aux attentes sociales en matière d'apparence : "Je n'eus qu'un instant la fraîcheur
et jamais la beauté."
3. Le comportement de G.Sand est-il conforme aux idées de son époque? Justifiez votre
réponse en vous appuyant sur le texte.
Non, le comportement de G.Sand n'était pas conforme aux idées de son époque en ce qui
concerne la beauté et les soins personnels. Elle rejetait les pratiques qui étaient courantes à
l'époque pour préserver la beauté, préférant plutôt se consacrer à la lecture, à l'écriture et à
l'indépendance intellectuelle. Elle explique clairement son point de vue en disant : "Se priver
de travail pour avoir l'œil frais, ne pas courir au soleil quand ce bon soleil de Dieu vous attire
irrésistiblement, ne point marcher dans de bons gros sabots de peur de se déformer le
cou-de-pied, porter des gants, c'est-à-dire renoncer à l'adresse et à la force de ses mains,
se condamner à une éternelle gaucherie, à une éternelle débilité, ne jamais se fatiguer
quand tout nous commande de ne point nous épargner, vivre enfin sous une cloche pour
n'être ni hâlée, ni gercée, ni flétrie avant l'âge, voilà ce qu'il me fut toujours impossible
d'observer."
4. Quelles réflexions sur la beauté G.Sand mène-t-elle dans le dernier paragraphe? Sur quel
ton le fait-elle? Expliquez.
Dans le dernier paragraphe, George Sand réfléchit sur l'impact de la beauté et de la
laideur sur les relations humaines. Elle suggère que la beauté peut susciter des attentes et
des préjugés, tandis que la laideur peut repousser les gens. Elle adopte un ton pragmatique
en déclarant qu'il vaut mieux avoir un aspect qui n'éblouit ni n'effraye personne, car cela
facilite les relations amicales : "Il vaut mieux avoir une bonne figure qui n'éblouit et n'effraye
personne, et je m'en suis bien trouvée avec mes amis des deux sexes."
Activité 2:
Pensez-vous que les thèmes abordés par G.Sand sont toujours d'actualité à notre époque?