Unwind - Smashbook #10 - Chapter 56 to 69 (Novel's end) - Alexandre Gendreau
J’ai adoré les derniers chapitres de ce livre, car c’est non seulement la fin de ce livre, ce n’est pas la
fin de l’histoire, car le Status quo n’a pas été défini et que cette histoire mérite à mon avis d’avoir une
suite. C’est la fin d’une aventure avec plusieurs personnages qui ont chacun leur propre personnalité
et qui ont fait leurs erreurs, mais qui pour la plupart ont su évoluer au cours de leur exil de la ville. À
force d’analyser leur caractère et de les voir grandir psychologiquement, j’ai commencé à m’attacher
à ces personnages victimes des erreurs du passé et n’ayant rien demandé. Des adolescents comme
Roland qui font des erreurs et qui deviennent violents, mais qui n’aspiraient à mener une vie paisible
sans être forcé de s’enfuire et d’avoir peur de mourir. C’est une histoire où l’on ne peut pas juger les
enfants par leurs erreurs, mais uniquement leur évolution dans un milieu hostile. Les seules coupables
sont les adultes qui ne cherchent que les conflits, les guerres, ériger des frontières entre ce qui est bon
et ce qui ne l’ai pas. Puis, ils font en sorte de complexifier toute la société tout comme l’exprime
Lewis Carroll dans son livre Alice au pays des merveilles où il explique à travers les aventures d’une
jeune fille à quel point les gens et les institutions sont illogiques. Ces deux romans sont similaires, car
les antagonistes tentent de se débarrasser de la jeunesse pour en faire des esclaves d’un système
supérieur qui ne vise qu’à les sacrifier.
Une des parties les plus belles de ces chapitre et à mon avis la plus belle du livre est le moment où
Connor est sur le point de se faire Unwind et Lev est libre de son choix avait plein de raisons de
détester Connor comme le fait de l’avoir kidnappé. Toutefois, il est venu le sauver lui et plusieurs
autres, Je trouve cette partie du livre à la fois héroïque et magnifique, car je peux m’imaginer la scène
très bien construite par l’auteur Neal Shusterman qui a réalisé un livre exceptionnel.
Risa, Connor ainsi que Lev ont commencé en étant personne et ils ont terminé leur aventure en étant
au sommet et en étant une source d’inspiration pour la plupart des gens. Un cheminement
remarquable qui peut comparer à celui de Martin Luther King qui est venu protester et défendre ces
droits souvent sous des insultes racistes, mais il n’a jamais cessé de se battre jusqu’à devenir un
symbole de protestation et d’égalité aux États-Unis. Un symbole qu’est devenu Lev et les Unwinds en
ne s’inclinant pas devant les gardes. En sauvant ses amis, Lev a donné une image positive aux
Unwinds contredisant la doxa qui fait croire que tous les Unwinds sont mauvais. L'aveuglement de la
société à ce sujet a permis un soulèvement de questionnements sur le sort des Unwinds et à la
réduction de l’âge où les jeunes peuvent être Unwind. Une preuve que leur mouvement de
contestation a tout changé.
Concernant la chute de cette histoire, j’ai été surpris d’apprendre que les intentions de l’Amiral n’était
pas de ramener son fils à la vie, mais qu’il voulait uniquement rassembler les gens qui avait une partie
de son fils en eux pour ainsi reconstituer son fils de manière plus significative, un beau geste pour se
commémorer qui m’a étonné montrant la sagesse de cet homme. J’ai été davantage surpris et à la fois
choqué par la mort horrible de Roland en observant le manque d’empathie des chirurgiens qui ne
ressentaient absolument rien en faisant leur travail sans ressentir le moindre soupçon d’émotion. Lors
de son opération, l’infirmière lui disant de se calmer démontre à quel point elle ne comprend pas ce
que vit Roland. Plusieurs pourraient dire que Roland méritait son sort, mais comme Lev le disait, il
n’a pas choisi son passé et ni son destin et ce qui arrive est la faute entière du système qui détruit les
gens. De plus, la manière dont l’auteur écrit cette partie est saisissante, car elle nous oblige à ressentir
la douleur que vivait Roland lors de cette opération. Même s’il s’agit d’une histoire, je ressentais de la
compassion envers Roland.
J’ai adoré les derniers chapitres de ce livre, car c’est non seulement la fin de ce livre, ce n’est pas la
fin de l’histoire, car le Status quo n’a pas été défini et que cette histoire mérite à mon avis d’avoir une
suite. C’est la fin d’une aventure avec plusieurs personnages qui ont chacun leur propre personnalité
et qui ont fait leurs erreurs, mais qui pour la plupart ont su évoluer au cours de leur exil de la ville. À
force d’analyser leur caractère et de les voir grandir psychologiquement, j’ai commencé à m’attacher
à ces personnages victimes des erreurs du passé et n’ayant rien demandé. Des adolescents comme
Roland qui font des erreurs et qui deviennent violents, mais qui n’aspiraient à mener une vie paisible
sans être forcé de s’enfuire et d’avoir peur de mourir. C’est une histoire où l’on ne peut pas juger les
enfants par leurs erreurs, mais uniquement leur évolution dans un milieu hostile. Les seules coupables
sont les adultes qui ne cherchent que les conflits, les guerres, ériger des frontières entre ce qui est bon
et ce qui ne l’ai pas. Puis, ils font en sorte de complexifier toute la société tout comme l’exprime
Lewis Carroll dans son livre Alice au pays des merveilles où il explique à travers les aventures d’une
jeune fille à quel point les gens et les institutions sont illogiques. Ces deux romans sont similaires, car
les antagonistes tentent de se débarrasser de la jeunesse pour en faire des esclaves d’un système
supérieur qui ne vise qu’à les sacrifier.
Une des parties les plus belles de ces chapitre et à mon avis la plus belle du livre est le moment où
Connor est sur le point de se faire Unwind et Lev est libre de son choix avait plein de raisons de
détester Connor comme le fait de l’avoir kidnappé. Toutefois, il est venu le sauver lui et plusieurs
autres, Je trouve cette partie du livre à la fois héroïque et magnifique, car je peux m’imaginer la scène
très bien construite par l’auteur Neal Shusterman qui a réalisé un livre exceptionnel.
Risa, Connor ainsi que Lev ont commencé en étant personne et ils ont terminé leur aventure en étant
au sommet et en étant une source d’inspiration pour la plupart des gens. Un cheminement
remarquable qui peut comparer à celui de Martin Luther King qui est venu protester et défendre ces
droits souvent sous des insultes racistes, mais il n’a jamais cessé de se battre jusqu’à devenir un
symbole de protestation et d’égalité aux États-Unis. Un symbole qu’est devenu Lev et les Unwinds en
ne s’inclinant pas devant les gardes. En sauvant ses amis, Lev a donné une image positive aux
Unwinds contredisant la doxa qui fait croire que tous les Unwinds sont mauvais. L'aveuglement de la
société à ce sujet a permis un soulèvement de questionnements sur le sort des Unwinds et à la
réduction de l’âge où les jeunes peuvent être Unwind. Une preuve que leur mouvement de
contestation a tout changé.
Concernant la chute de cette histoire, j’ai été surpris d’apprendre que les intentions de l’Amiral n’était
pas de ramener son fils à la vie, mais qu’il voulait uniquement rassembler les gens qui avait une partie
de son fils en eux pour ainsi reconstituer son fils de manière plus significative, un beau geste pour se
commémorer qui m’a étonné montrant la sagesse de cet homme. J’ai été davantage surpris et à la fois
choqué par la mort horrible de Roland en observant le manque d’empathie des chirurgiens qui ne
ressentaient absolument rien en faisant leur travail sans ressentir le moindre soupçon d’émotion. Lors
de son opération, l’infirmière lui disant de se calmer démontre à quel point elle ne comprend pas ce
que vit Roland. Plusieurs pourraient dire que Roland méritait son sort, mais comme Lev le disait, il
n’a pas choisi son passé et ni son destin et ce qui arrive est la faute entière du système qui détruit les
gens. De plus, la manière dont l’auteur écrit cette partie est saisissante, car elle nous oblige à ressentir
la douleur que vivait Roland lors de cette opération. Même s’il s’agit d’une histoire, je ressentais de la
compassion envers Roland.
