TD 5 Psychologie cognitive
Questionnaire 1 : le sujet doit imaginer sa propre main telle qu’il la ressens dans la
position indiquée=mains sur les genoux
Questionnaire 2 : le sujet doit imaginer sa propre main telle qu’il la ressent dans la position
indiquée=mains dans la dos
Questionnaire 3 : le sujet doit se représenter visuellement la main de l’expérimentateur=
mains sur les genoux
Questionnaire 4 : le sujet doit se représenter visuellement la main de l’expérimentateur =
mains dans le dos
Durée pour chaque questionnaire.
Cf feuille
Dans cette expérience, on s’intéresse au phénomène d’imagerie mentale
- Imagerie motrice : fait d’imaginer son propre corps de l’intérieur ou des mouvements de
celui ci sans le représenter visuellement => Proprioception
- L’imagerie visuelle implique la vision : se représenter visuellement en observateur
externe quelque chose ou quelqu’un et leurs mouvements
De nombreuses études ont montré que l’imagerie motrice repose sur la physiologie
motrice, et l’imagerie visuelle repose sur la physiologie visuelle. Mise en jeu des structures
du cerveau responsables de la motricité
Si je bouge la main droite ou si j’essaie de ressentir le mouvement sans le faire
réellement, ce sont les mêmes structures cérébrales qui sont activées. Même chose pour
l’imagerie visuelle : elle met en jeu les structures cérébrales impliquées dans la perception
visuelle.
On peut penser qu’en imagerie motrice, les capacités d’imageries dépendent davantage
des postures de la personne qu’en condition d’imagerie visuelle car en imagerie motrice
(=Imagerie motrice plus affectée par les postures réelles du corps que l’imagerie visuelle)
1.Hypothèse théorique : les postures auront des effets différents en fonction du type
d’imagerie activé (en représentant sa main et la main d’autrui et selon la position des
mains)
Hypothèse opérationnelle : en condition d’imagerie visuelle, on n’attend pas d’effet de
position des mains.
Conditions : on s’attend à mettre plus de temps à répondre quand les mains sont croisées
dans le dos plutôt que sur les genoux, car lorsqu’elles sont croisées dans le dos on sent
les 2 mains qui se touchent, ce qui envoie plus de signaux sur chacune des positions des
mains. Si elles sont sur les genoux, la position n’est pas celle qu’on doit imaginer mais il y
aura moins d’informations qui viendront contredire la position de la main d’un point de vue
moteur.
Elles sont des hypothèses d’interaction car : une variable modifie l’effet de l’autre sur la
variable dépendante. (Ici, pour la variable type d’imagerie/modalité imagerie motrice, on
attend un effet de la variable position de la main. Par contre pour la variable type
imagerie/modalité imagerie visuelle, on n’attend pas de différence entre les mains
croisées dans le dos et sur les genoux)
Questionnaire 1 : le sujet doit imaginer sa propre main telle qu’il la ressens dans la
position indiquée=mains sur les genoux
Questionnaire 2 : le sujet doit imaginer sa propre main telle qu’il la ressent dans la position
indiquée=mains dans la dos
Questionnaire 3 : le sujet doit se représenter visuellement la main de l’expérimentateur=
mains sur les genoux
Questionnaire 4 : le sujet doit se représenter visuellement la main de l’expérimentateur =
mains dans le dos
Durée pour chaque questionnaire.
Cf feuille
Dans cette expérience, on s’intéresse au phénomène d’imagerie mentale
- Imagerie motrice : fait d’imaginer son propre corps de l’intérieur ou des mouvements de
celui ci sans le représenter visuellement => Proprioception
- L’imagerie visuelle implique la vision : se représenter visuellement en observateur
externe quelque chose ou quelqu’un et leurs mouvements
De nombreuses études ont montré que l’imagerie motrice repose sur la physiologie
motrice, et l’imagerie visuelle repose sur la physiologie visuelle. Mise en jeu des structures
du cerveau responsables de la motricité
Si je bouge la main droite ou si j’essaie de ressentir le mouvement sans le faire
réellement, ce sont les mêmes structures cérébrales qui sont activées. Même chose pour
l’imagerie visuelle : elle met en jeu les structures cérébrales impliquées dans la perception
visuelle.
On peut penser qu’en imagerie motrice, les capacités d’imageries dépendent davantage
des postures de la personne qu’en condition d’imagerie visuelle car en imagerie motrice
(=Imagerie motrice plus affectée par les postures réelles du corps que l’imagerie visuelle)
1.Hypothèse théorique : les postures auront des effets différents en fonction du type
d’imagerie activé (en représentant sa main et la main d’autrui et selon la position des
mains)
Hypothèse opérationnelle : en condition d’imagerie visuelle, on n’attend pas d’effet de
position des mains.
Conditions : on s’attend à mettre plus de temps à répondre quand les mains sont croisées
dans le dos plutôt que sur les genoux, car lorsqu’elles sont croisées dans le dos on sent
les 2 mains qui se touchent, ce qui envoie plus de signaux sur chacune des positions des
mains. Si elles sont sur les genoux, la position n’est pas celle qu’on doit imaginer mais il y
aura moins d’informations qui viendront contredire la position de la main d’un point de vue
moteur.
Elles sont des hypothèses d’interaction car : une variable modifie l’effet de l’autre sur la
variable dépendante. (Ici, pour la variable type d’imagerie/modalité imagerie motrice, on
attend un effet de la variable position de la main. Par contre pour la variable type
imagerie/modalité imagerie visuelle, on n’attend pas de différence entre les mains
croisées dans le dos et sur les genoux)
