Effet de la position sérielle
L’expérience porte sur la mémoire et sur les effets de la position sérielle des éléments à
apprendre sur leur mémorisation. (Cf : but) Effet de récence et effet de primauté.
Ces effets peuvent être expliqués par l’hypothèse de 2 systèmes de mémoires qui
fonctionnent (MCT et MLT), donc par le fait que les premiers éléments d’un apprentissage
sont mieux mémorisés parce qu’ils passent en MLT grâce à l’auto-répétition entre le
présentation des éléments à apprendre.
La répétition permet le passage en MLT et on est censé ne plus oublier (même s’il y a des
difficultés à récupérer l’information) MCT -> intégration de la MLT
Les derniers éléments quant à eux n’ont pas été «chassés» par d’autres, ils sont encore en
MCT et on s’en rappelle, et si on laisse passer un peu de temps on s’en souvient grâce à
l’auto-répétition. Lorsqu’ils arrivent, les capacités de la MCT en terme de quantité
d’information à stocker sont atteintes ,et ils sont chassés par ceux qui arrivent derrière donc
on n’a pas eu le temps de faire de l’auto répétition. Surtout après un certain délai car ils
n’ont pas pu être maintenus en MCT.
En s’appuyant sur l’expérience faite en classe, pour tester l’efficacité de l’effet de primauté :
Variation de la vitesse d’énonciation des mots (rapidement : on n’a pas/peu de temps pour
faire de l’auto-répétition, mais plus lentement on peut le faire).
Pour tester l’effet de récence : en introduisant une tache de décomptage de 30 secondes qui
va empêcher l’auto-répétition à la fin de la lecture (on a dépassé les capacités de la MCT en
durée en plus)
Les VI de cette expérience sont :
- Vitesse d’énonciation des mots (rapide et lent, 2 modalités)
- Tâche de décomptage après la lecture de la liste (2 modalités)
- La position des mots dans la liste (ici 15 mots dans chacune, donc 15 modalités)
Ici, les VI sont intra-sujet car c’est toujours le même groupe dans chacune des conditions
expérimentales.
La VD serait le nombre d’étudiant ayant rappelé chaque mot
4 hypothèses opérationnelles :
- En condition décomptage et lecture rapide, tout les mots quelque soit leur position dans
la liste, seront mal rappelés (il n’y aura pas d’effet de primauté ni de récence)
- En condition décomptage et lecture lente, les mots du début seront mieux rappelés que
les autres (effet de primauté mais pas de récence)
- En condition de lecture rapide et pas de décomptage, les mots de la fin seront mieux
rappelés que les autres (effet de récence mais pas de primauté)
- En condition de lecture lente et pas de décomptage, les mots du début et de la fin seront
mieux rappelés que ceux du milieu
Dans cette expérience : 37 étudiants (X 37, /100)
Définitions :
Effet de récence : les mots de la fin sont mieux retenus
Effet de primauté : les mots du début sont mieux retenus
L’expérience porte sur la mémoire et sur les effets de la position sérielle des éléments à
apprendre sur leur mémorisation. (Cf : but) Effet de récence et effet de primauté.
Ces effets peuvent être expliqués par l’hypothèse de 2 systèmes de mémoires qui
fonctionnent (MCT et MLT), donc par le fait que les premiers éléments d’un apprentissage
sont mieux mémorisés parce qu’ils passent en MLT grâce à l’auto-répétition entre le
présentation des éléments à apprendre.
La répétition permet le passage en MLT et on est censé ne plus oublier (même s’il y a des
difficultés à récupérer l’information) MCT -> intégration de la MLT
Les derniers éléments quant à eux n’ont pas été «chassés» par d’autres, ils sont encore en
MCT et on s’en rappelle, et si on laisse passer un peu de temps on s’en souvient grâce à
l’auto-répétition. Lorsqu’ils arrivent, les capacités de la MCT en terme de quantité
d’information à stocker sont atteintes ,et ils sont chassés par ceux qui arrivent derrière donc
on n’a pas eu le temps de faire de l’auto répétition. Surtout après un certain délai car ils
n’ont pas pu être maintenus en MCT.
En s’appuyant sur l’expérience faite en classe, pour tester l’efficacité de l’effet de primauté :
Variation de la vitesse d’énonciation des mots (rapidement : on n’a pas/peu de temps pour
faire de l’auto-répétition, mais plus lentement on peut le faire).
Pour tester l’effet de récence : en introduisant une tache de décomptage de 30 secondes qui
va empêcher l’auto-répétition à la fin de la lecture (on a dépassé les capacités de la MCT en
durée en plus)
Les VI de cette expérience sont :
- Vitesse d’énonciation des mots (rapide et lent, 2 modalités)
- Tâche de décomptage après la lecture de la liste (2 modalités)
- La position des mots dans la liste (ici 15 mots dans chacune, donc 15 modalités)
Ici, les VI sont intra-sujet car c’est toujours le même groupe dans chacune des conditions
expérimentales.
La VD serait le nombre d’étudiant ayant rappelé chaque mot
4 hypothèses opérationnelles :
- En condition décomptage et lecture rapide, tout les mots quelque soit leur position dans
la liste, seront mal rappelés (il n’y aura pas d’effet de primauté ni de récence)
- En condition décomptage et lecture lente, les mots du début seront mieux rappelés que
les autres (effet de primauté mais pas de récence)
- En condition de lecture rapide et pas de décomptage, les mots de la fin seront mieux
rappelés que les autres (effet de récence mais pas de primauté)
- En condition de lecture lente et pas de décomptage, les mots du début et de la fin seront
mieux rappelés que ceux du milieu
Dans cette expérience : 37 étudiants (X 37, /100)
Définitions :
Effet de récence : les mots de la fin sont mieux retenus
Effet de primauté : les mots du début sont mieux retenus