Samenvatting – La pipe de Maigret – Georges Simenon
A la fin d’une chaude journée de juillet Maigret s’aperçoit qu’il ne trouve plus sa
bonne pipe en bruyère que sa femme lui avait offerte à l’occasion de son
anniversaire. Il la cherche partout dans son bureau à la Police Judiciaire, mais elle
semble avoir disparu.
Vers huit heures du soir il quitte son bureau, achète des pêches pour sa femme et
rentre chez lui où sa belle-sœur, sa femme et son beau-frère l’attendent.
Pendant qu’il leur sert les apéritifs et les liqueurs il pense à sa pipe. Il essaie de se
rappeler les événements de l’après-midi au bureau. Il avait parlé à Lucas, puis à
l’inspecteur Janvier.
Il avait rédigé un rapport sur un suicide. Puis une dame, Mme Leroy, était venue
lui parler. Elle était accompagné de son fils, Joseph, garçon-coiffeur, qui n’avait
pas eu l’air content et semblait souffrir d’un complexe d’infériorité.
Mme Leroy qui avait à peu près cinquante ans, était veuve. Elle ne se montrait
pas très aimable à l’égard de son fils.
Ils habitaient une petite maison à Charenton. Elle dit à Maigret qu’elle avait
constaté à plusieurs reprises que quelqu’un s’était introduit dans sa maison en son
absence.
D’abord ce n’étaient que de vagues impressions, récemment elle avait même
remarqué des traces d’homme ou de femme et une tasse brisée dans la cuisine.
Les visiteurs semblaient pénétrer dans la maison par la porte. Pourtant il n’y avait
qu’une seule clé que Mme Leroy gardait toujours sur elle.
Maigret est sûr que le garçon lui a chipé sa pipe.
Avant la visite des Leroy il l’avait encore dans son bureau. Ce n’est qu’après leur
sortie qu’il n’a pu la retrouver.
Le lendemain matin Mme Leroy se présente de nouveau au bureau de Maigret
pour lui dire que son fils a disparu la nuit dernière.
Après la mort de son mari Mme Leroy a dû travailler. D’abord elle a eu trois
locataires dont le dernier, Bleustein, avait disparu un jour pour ne jamais revenir.
Depuis un an Mme Leroy est dame de compagnie chez une dame riche.
Maigret conseille à Mme Leroy de faire changer la serrure et il lui promet de lui
envoyer un agent de police pour surveiller la maison.
Maigret fait fouiller la maison de Mme Leroy. Il paraît que Joseph a quitté la
maison en pantoufles sans que sa mère ne l’ait entendu.
Lucas trouve un bout de papier dans un paquet de cigarettes. C’est une lettre
d’amour d’une jeune fille, Mathilde, l’amie de Joseph. Mathilde raconte à Maigret
qu’un jour Joseph et elle sont allés à Chelles pour s’y promener.
, En attendant on a trouvé aux Sommiers des renseignements sur Bleustein. Il a été
tué par un inconnu dans sa chambre d’hôtel à Nice il y a trois ans.
Maigret a l’idée d’aller à Chelles pour y retrouver Joseph. Il amène Mathilde et
Lucas.
En entrant dans une petite auberge misérable il aperçoit un homme qui essaie de
se sauver en renversant la lampe à pétrole. Après une lutte brève, Maigret peut
arrêter Nicolas, un criminel qui venait de quitter la prison. Nicolas avait volé avec
Bleustein les diamants. Celui-ci les avait cachés dans la maison de Mme Leroy.
Nicolas qui se méfiait de Bleustein l’avait tué et lui avait pris la clé que Bleustein
s’était fabriquée. Joseph avait compris que l‘inconnu cherchait quelque chose de
petit et de précieux dans la maison. Il avait lui-même commencé à fouiller la
maison et avait trouvé les diamants dans les bobèches d’une lampe à gaz
suspendue.
A l’arrivée de Nicolas, Joseph avait dû quitter la maison.
Il s’était dirigé vers Chelles où il était libéré par Maigret qui avait tout deviné.
Joseph avait barricadé la chambre lors de l’arrivée de Nicolas.
Pour consoler Joseph et le réconforter un peu, Maigret lui promit une nouvelle
pipe que Joseph acceptait avec un peu de regret parce qu’elle n’était pas la vraie !
A la fin d’une chaude journée de juillet Maigret s’aperçoit qu’il ne trouve plus sa
bonne pipe en bruyère que sa femme lui avait offerte à l’occasion de son
anniversaire. Il la cherche partout dans son bureau à la Police Judiciaire, mais elle
semble avoir disparu.
Vers huit heures du soir il quitte son bureau, achète des pêches pour sa femme et
rentre chez lui où sa belle-sœur, sa femme et son beau-frère l’attendent.
Pendant qu’il leur sert les apéritifs et les liqueurs il pense à sa pipe. Il essaie de se
rappeler les événements de l’après-midi au bureau. Il avait parlé à Lucas, puis à
l’inspecteur Janvier.
Il avait rédigé un rapport sur un suicide. Puis une dame, Mme Leroy, était venue
lui parler. Elle était accompagné de son fils, Joseph, garçon-coiffeur, qui n’avait
pas eu l’air content et semblait souffrir d’un complexe d’infériorité.
Mme Leroy qui avait à peu près cinquante ans, était veuve. Elle ne se montrait
pas très aimable à l’égard de son fils.
Ils habitaient une petite maison à Charenton. Elle dit à Maigret qu’elle avait
constaté à plusieurs reprises que quelqu’un s’était introduit dans sa maison en son
absence.
D’abord ce n’étaient que de vagues impressions, récemment elle avait même
remarqué des traces d’homme ou de femme et une tasse brisée dans la cuisine.
Les visiteurs semblaient pénétrer dans la maison par la porte. Pourtant il n’y avait
qu’une seule clé que Mme Leroy gardait toujours sur elle.
Maigret est sûr que le garçon lui a chipé sa pipe.
Avant la visite des Leroy il l’avait encore dans son bureau. Ce n’est qu’après leur
sortie qu’il n’a pu la retrouver.
Le lendemain matin Mme Leroy se présente de nouveau au bureau de Maigret
pour lui dire que son fils a disparu la nuit dernière.
Après la mort de son mari Mme Leroy a dû travailler. D’abord elle a eu trois
locataires dont le dernier, Bleustein, avait disparu un jour pour ne jamais revenir.
Depuis un an Mme Leroy est dame de compagnie chez une dame riche.
Maigret conseille à Mme Leroy de faire changer la serrure et il lui promet de lui
envoyer un agent de police pour surveiller la maison.
Maigret fait fouiller la maison de Mme Leroy. Il paraît que Joseph a quitté la
maison en pantoufles sans que sa mère ne l’ait entendu.
Lucas trouve un bout de papier dans un paquet de cigarettes. C’est une lettre
d’amour d’une jeune fille, Mathilde, l’amie de Joseph. Mathilde raconte à Maigret
qu’un jour Joseph et elle sont allés à Chelles pour s’y promener.
, En attendant on a trouvé aux Sommiers des renseignements sur Bleustein. Il a été
tué par un inconnu dans sa chambre d’hôtel à Nice il y a trois ans.
Maigret a l’idée d’aller à Chelles pour y retrouver Joseph. Il amène Mathilde et
Lucas.
En entrant dans une petite auberge misérable il aperçoit un homme qui essaie de
se sauver en renversant la lampe à pétrole. Après une lutte brève, Maigret peut
arrêter Nicolas, un criminel qui venait de quitter la prison. Nicolas avait volé avec
Bleustein les diamants. Celui-ci les avait cachés dans la maison de Mme Leroy.
Nicolas qui se méfiait de Bleustein l’avait tué et lui avait pris la clé que Bleustein
s’était fabriquée. Joseph avait compris que l‘inconnu cherchait quelque chose de
petit et de précieux dans la maison. Il avait lui-même commencé à fouiller la
maison et avait trouvé les diamants dans les bobèches d’une lampe à gaz
suspendue.
A l’arrivée de Nicolas, Joseph avait dû quitter la maison.
Il s’était dirigé vers Chelles où il était libéré par Maigret qui avait tout deviné.
Joseph avait barricadé la chambre lors de l’arrivée de Nicolas.
Pour consoler Joseph et le réconforter un peu, Maigret lui promit une nouvelle
pipe que Joseph acceptait avec un peu de regret parce qu’elle n’était pas la vraie !
