Chapitre 2 : Skiascopie
I. Intérêt
La skiascopie permet de déterminer la réfraction objective.
Les résultats sont + fiables qu’à l’auto-refractomètre.
II. Principe
À l’aide du skiascope, on éclaire la R’ du patient, la lumière se réfléchit sur la R’ devient
source lumineuse. La lumière venant de la R’ apparaît à l’observateur comme un reflet
orangé, on l’appelle reflet pupillaire. En comparent lors du balayage, le déplacement du
skiascope, et celui du reflet pupillaire, on en déduit la position du remotum du patient.
Chapitre 3 : Ophtalmoscopie
I. Intérêt
On utilise principalement l’ophtalmoscope pour observer le fond d’œil (= R’), mais on peut
également observer tous les autres éléments constituant l’œil (= cornée, iris, cristallin ...). On
peut aussi avoir une idée approximative de l’amétropie du sujet.
II. Principe
On éclaire l’œil du patient à l’aide de l’ophtalmoscope. La lumière pénètre dans l’œil et se
réfléchit sur la R’ du patient. La R’ du patient devient donc source lumineuse.
Pour que la R’ du patient paraisse nette à l’observateur, il faut :
Doeil p Dophta = DLp + DLobs Doeil obs
R’p ---------------- > Rp -------------------- > Ro ---------------- > R’o
A = 0S A = 0S
1,336
1,336 1 1
Chapitre 4 : Champ de regard
I. Définitions
Champ de regard : Ensemble des points que l’œil peut FIXER lorsque la tête reste immobile.
Ligne de regard : Ligne joignant le centre de rotation de l’œil (= Q’) et le point de fixation (ou
la fovéa F’).
, II. Champ de regard apparent en lunettes
Le champ de regard apparent est le champ de regard quand le sujet est compensé.
A. Position de Q
Q ---------------- > Q’
DL = 1/LQ’ – 1/LQ
Q’ = Centre réel de rotation
Q = Centre apparent de rotation
Myope : Q = devant Q’
Hyperope : Q = derrière Q’
B. Calcul de w’
W’ : Angle réel de rotation
W : Angle apparent de rotation
1) Schéma
(Il peut être en vue de dessus comme de profil !!!)
Myope: w’ < w
Hyperope: w’ > w
I. Intérêt
La skiascopie permet de déterminer la réfraction objective.
Les résultats sont + fiables qu’à l’auto-refractomètre.
II. Principe
À l’aide du skiascope, on éclaire la R’ du patient, la lumière se réfléchit sur la R’ devient
source lumineuse. La lumière venant de la R’ apparaît à l’observateur comme un reflet
orangé, on l’appelle reflet pupillaire. En comparent lors du balayage, le déplacement du
skiascope, et celui du reflet pupillaire, on en déduit la position du remotum du patient.
Chapitre 3 : Ophtalmoscopie
I. Intérêt
On utilise principalement l’ophtalmoscope pour observer le fond d’œil (= R’), mais on peut
également observer tous les autres éléments constituant l’œil (= cornée, iris, cristallin ...). On
peut aussi avoir une idée approximative de l’amétropie du sujet.
II. Principe
On éclaire l’œil du patient à l’aide de l’ophtalmoscope. La lumière pénètre dans l’œil et se
réfléchit sur la R’ du patient. La R’ du patient devient donc source lumineuse.
Pour que la R’ du patient paraisse nette à l’observateur, il faut :
Doeil p Dophta = DLp + DLobs Doeil obs
R’p ---------------- > Rp -------------------- > Ro ---------------- > R’o
A = 0S A = 0S
1,336
1,336 1 1
Chapitre 4 : Champ de regard
I. Définitions
Champ de regard : Ensemble des points que l’œil peut FIXER lorsque la tête reste immobile.
Ligne de regard : Ligne joignant le centre de rotation de l’œil (= Q’) et le point de fixation (ou
la fovéa F’).
, II. Champ de regard apparent en lunettes
Le champ de regard apparent est le champ de regard quand le sujet est compensé.
A. Position de Q
Q ---------------- > Q’
DL = 1/LQ’ – 1/LQ
Q’ = Centre réel de rotation
Q = Centre apparent de rotation
Myope : Q = devant Q’
Hyperope : Q = derrière Q’
B. Calcul de w’
W’ : Angle réel de rotation
W : Angle apparent de rotation
1) Schéma
(Il peut être en vue de dessus comme de profil !!!)
Myope: w’ < w
Hyperope: w’ > w