Sido
Sido : consacré à la mère de Colette
Introduction :
Colette est une écrivaine majeure du XXème siècle qui est née à Saint-Sauveur-en-Puisaye et
représente à travers Sido une sorte de paradis de son enfance. Très jeune, son père appelé
le Capitaine n’est pas très présent lors de l’adolescence de Colette mais lui transcrit le goût
de l’écriture. L’extrait écrit par Colette à la fin de sa vie se situe dans le chapitre ou celle-ci
fait le caractère idéalisé de sa mère qui rapporte à un rituel des promenades à l’aube chaque
été et que sa mère lui offrait comme une sorte de cadeau qui lui donne goût à la liberté.
Problématique : Par quels procédés Colette fait-elle le récit de la beauté du jour que sa mère
lui octroi ?
Plan du texte :
- Début à « par son éclosion » : la naissance de l’aube
- « Ma mère me laissait » à enfants endormis » : la façon dont la mère la considère
- « Je revenais à la cloche » à « la fin : récit de son retour à Saint-Sauveur-en-Puisaye
Début à « par son éclosion » :
- « j’aimais tant l’aube, déjà, que ma mère me l’accordait en récompense » : proposition
subordonnée circonstancielle de conséquence.
- « ma mère me l’accordait » : figure de la mère puissante qui accorde ce privilège.
- « je m’en allais » : imparfait à valeur d’habitude, dans la répétition qu’elle ressent le plaisir
de la promenade.
- « trois heures et demie » : précision de l’heur qui renseigne le lecteur et montrant
l’excitation dans laquelle elle se trouve.
- « récompense » : une sorte de cadeau.
- l297 à l300 : idée de conquête et d’aventure, une sorte d’ironie car maintenant elle se rend
compte que c’était une simple balade.
- l299 à l300 : personnification de la « Terre » et de la nature.
- « les fraises, les cassis et les groseilles barbues » : énumération de fruit qui fait par du goût.
- « A trois heures trente » : élément temporel que Colette trouve nécessaire de rappeler.
- « bleu originel » « humide » « brouillard » « narine » : fait référence à ses sens et forme la
synesthésie des sens qui est caractéristique de l’écriture de Colette afin qu’elle éprouve le
monde qui l’entoure et ce qu’elle ressent.
- « narines plus sensibles que tout le reste de mon corps » : perception du monde qui
s’effectue par la sensibilité.
- « baignait d’abord mes jambes » : c dont Colette fait ici le récit c’est un bain initiatique
qu’elle appréhende avec son corps et sa sensibilité.
- « d’abord » « puis » : cela démontre un processus progressif.
- « J’allais seul » : mélange d’anxiété et d’excitation, c’est Colette adulte qui parle et selon
elle la solitude est une solution constitutive à son bonheur, c’est un jugement porté par
l’adulte qui se rappelle de souvenir lointain.
- « 1er souffle » « éclosion » « 1er oiseau » : vocabulaire qui fait référence à la naissance avec
une anaphore du terme « premier ».
Sido : consacré à la mère de Colette
Introduction :
Colette est une écrivaine majeure du XXème siècle qui est née à Saint-Sauveur-en-Puisaye et
représente à travers Sido une sorte de paradis de son enfance. Très jeune, son père appelé
le Capitaine n’est pas très présent lors de l’adolescence de Colette mais lui transcrit le goût
de l’écriture. L’extrait écrit par Colette à la fin de sa vie se situe dans le chapitre ou celle-ci
fait le caractère idéalisé de sa mère qui rapporte à un rituel des promenades à l’aube chaque
été et que sa mère lui offrait comme une sorte de cadeau qui lui donne goût à la liberté.
Problématique : Par quels procédés Colette fait-elle le récit de la beauté du jour que sa mère
lui octroi ?
Plan du texte :
- Début à « par son éclosion » : la naissance de l’aube
- « Ma mère me laissait » à enfants endormis » : la façon dont la mère la considère
- « Je revenais à la cloche » à « la fin : récit de son retour à Saint-Sauveur-en-Puisaye
Début à « par son éclosion » :
- « j’aimais tant l’aube, déjà, que ma mère me l’accordait en récompense » : proposition
subordonnée circonstancielle de conséquence.
- « ma mère me l’accordait » : figure de la mère puissante qui accorde ce privilège.
- « je m’en allais » : imparfait à valeur d’habitude, dans la répétition qu’elle ressent le plaisir
de la promenade.
- « trois heures et demie » : précision de l’heur qui renseigne le lecteur et montrant
l’excitation dans laquelle elle se trouve.
- « récompense » : une sorte de cadeau.
- l297 à l300 : idée de conquête et d’aventure, une sorte d’ironie car maintenant elle se rend
compte que c’était une simple balade.
- l299 à l300 : personnification de la « Terre » et de la nature.
- « les fraises, les cassis et les groseilles barbues » : énumération de fruit qui fait par du goût.
- « A trois heures trente » : élément temporel que Colette trouve nécessaire de rappeler.
- « bleu originel » « humide » « brouillard » « narine » : fait référence à ses sens et forme la
synesthésie des sens qui est caractéristique de l’écriture de Colette afin qu’elle éprouve le
monde qui l’entoure et ce qu’elle ressent.
- « narines plus sensibles que tout le reste de mon corps » : perception du monde qui
s’effectue par la sensibilité.
- « baignait d’abord mes jambes » : c dont Colette fait ici le récit c’est un bain initiatique
qu’elle appréhende avec son corps et sa sensibilité.
- « d’abord » « puis » : cela démontre un processus progressif.
- « J’allais seul » : mélange d’anxiété et d’excitation, c’est Colette adulte qui parle et selon
elle la solitude est une solution constitutive à son bonheur, c’est un jugement porté par
l’adulte qui se rappelle de souvenir lointain.
- « 1er souffle » « éclosion » « 1er oiseau » : vocabulaire qui fait référence à la naissance avec
une anaphore du terme « premier ».