Comment est-ce qu’on fait ressentir les émotions fortes chez le spectateur
dans ALE ?
Louis Malle utilise beaucoup de techniques cinématographiques comme
les gros plans et la bande sonore pour illustrer les émotions fortes comme
la tristesse, peur et incompréhension.
Malle utilise la bande sonore pour souligner des émotions fortes. Par
exemple, quand on entend l’allemand dans le film ce n’est pas traduit
parce qu’à Vichy France n’auraient pas parlé allemand et donc Louis Malle
a impliqué le public dans la scène en lui faisant ressentir de
l’incompréhension et de la confusion. La bande sonore contient aussi
beaucoup de silences et dans ce film les silences sont aussi puissants que
les mots. Par exemple, quand Père Jean et les enfants juifs quittent
l’école, le silence accentue la brutalité de la guerre. Un enfant brise le
silence en disant « Au revoir mon père » et donc on comprend les
émotions fortes et négatives grâce à l’utilisation de la bande sonore par le
directeur Louis Malle.
Les jeux de caméra nous aident à mieux comprendre les émotions des
personnages dans le film. Par exemple la caméra se focalise sur les
visages de Julien et son enseignante pendant la leçon du piano. Cela nous
permet de voir le contraste entre l’admiration de l’enseignante pour Jean
et la jalousie de Julien. Cela est encore souligné quand l’enseignante dit :
« ça fait plaisir d’avoir un élève doué » et Julien marmonne derrière la
porte : « Quel lèche-cul ». Il y a aussi beaucoup de gros plans durant le
film et ils mettent surtout en valeur les émotions pendant la scène finale.
Les gros plans obligent le public à comprendre les émotions fortes des
enfants, telles que la peur et la confusion quand la Gestapo emmenait les
garçons et Père Jean. De cette façon, les jeux de caméra amènent le
public dans le film et le forcent à ressentir les émotions ressentaient par
les personnages.
Louis Malle utilise aussi l’éclairage en tournant beaucoup de scènes dans
des endroits sombres. Le faible éclairage représente souvent la peur que
les personnages ressentent, par exemple pendant la scène dans la forêt
quand Jean demande à Julien « y a des loups dans cette forêt ? ». La nuit
tombe et il y a toute juste assez de lumière pour que le public puisse voir
les personnages. En outre, dans l’abri souterrain les enfants effrayés
spéculent sur l’emplacement des bombes. Un enfant dit : « ils bombardent
la gare ». Donc on peut dire que l’éclairage représente les émotions fortes
de la peur et de l’incertitude.
Pour conclure, je ne peux pas m’empêcher de penser que le public
ressentie les émotions fortes à cause des techniques cinématographiques
et donc on s’identifie avec les personnages et on apprécie le film plus.
dans ALE ?
Louis Malle utilise beaucoup de techniques cinématographiques comme
les gros plans et la bande sonore pour illustrer les émotions fortes comme
la tristesse, peur et incompréhension.
Malle utilise la bande sonore pour souligner des émotions fortes. Par
exemple, quand on entend l’allemand dans le film ce n’est pas traduit
parce qu’à Vichy France n’auraient pas parlé allemand et donc Louis Malle
a impliqué le public dans la scène en lui faisant ressentir de
l’incompréhension et de la confusion. La bande sonore contient aussi
beaucoup de silences et dans ce film les silences sont aussi puissants que
les mots. Par exemple, quand Père Jean et les enfants juifs quittent
l’école, le silence accentue la brutalité de la guerre. Un enfant brise le
silence en disant « Au revoir mon père » et donc on comprend les
émotions fortes et négatives grâce à l’utilisation de la bande sonore par le
directeur Louis Malle.
Les jeux de caméra nous aident à mieux comprendre les émotions des
personnages dans le film. Par exemple la caméra se focalise sur les
visages de Julien et son enseignante pendant la leçon du piano. Cela nous
permet de voir le contraste entre l’admiration de l’enseignante pour Jean
et la jalousie de Julien. Cela est encore souligné quand l’enseignante dit :
« ça fait plaisir d’avoir un élève doué » et Julien marmonne derrière la
porte : « Quel lèche-cul ». Il y a aussi beaucoup de gros plans durant le
film et ils mettent surtout en valeur les émotions pendant la scène finale.
Les gros plans obligent le public à comprendre les émotions fortes des
enfants, telles que la peur et la confusion quand la Gestapo emmenait les
garçons et Père Jean. De cette façon, les jeux de caméra amènent le
public dans le film et le forcent à ressentir les émotions ressentaient par
les personnages.
Louis Malle utilise aussi l’éclairage en tournant beaucoup de scènes dans
des endroits sombres. Le faible éclairage représente souvent la peur que
les personnages ressentent, par exemple pendant la scène dans la forêt
quand Jean demande à Julien « y a des loups dans cette forêt ? ». La nuit
tombe et il y a toute juste assez de lumière pour que le public puisse voir
les personnages. En outre, dans l’abri souterrain les enfants effrayés
spéculent sur l’emplacement des bombes. Un enfant dit : « ils bombardent
la gare ». Donc on peut dire que l’éclairage représente les émotions fortes
de la peur et de l’incertitude.
Pour conclure, je ne peux pas m’empêcher de penser que le public
ressentie les émotions fortes à cause des techniques cinématographiques
et donc on s’identifie avec les personnages et on apprécie le film plus.