SECTION B : LES THÉORIES CONTEMPORAINES
1. Les théories de la contingence structurelle
Ce sont des théories dont l’analyse porte sur la structure organisationnelle, ces théories dis que
cette structure est contingente à de nombreux paramètres qui seront propre à l’entreprise ou à
l’environnement mais elle va dépendre.
Les auteurs ⇒ Woodward, Lawrence et Lorsch, Mintzberg…
Toutes ces théories étudient l’impact des variables internes et externes sur la
structuration des organisations.
- Variable interne ⇒ Taille de l’entreprise, stratégie de l’entreprise, les
technologies utilisées, l’âge de l’entreprise, son secteur d’activité.
Elles vont impacter la structure de l’entreprise.
Variable externe ⇒ Environnement de l’entreprise, c’est-à-dire tout ce qui se
passe en dehors de l’entreprise.
Il n’existe pas une structure unique « universelle ».
Diversité des modes d’organisation et des modes de management
Le modèle optimal est celui qui répond aux changements de variables internes et externes qui
affectent la structure de l’entreprise.
Le modèle optimal pour une entreprise donner c’est celui qui répond au changement de variable
interne et externe qui vont elle-même affecter la structure de l’entreprise
Les structures organisationnelles selon Mintzberg : Une structure organisationnel vise 2
grands objectifs :
- Sépare en différentes tâches toutes les activités de l’entreprise.
- Coordonner le travail, les décisions de l’ensemble des participants qui sont affectés à
des tâches distinctes.
Définition des structures organisationnelles :
- On peut les représenter sous la forme d’un l’organigramme : c’est une représentation
graphique plus ou moins détaillée de la structure de l’organisation.
Les structures classiques :
- Henry Fayol : l’organisation hiérarchique ⇒
- Direction générale ⇒ manager
- L’unité de direction ⇒ un travailleur n’a qu’un seul chef
- Une hiérarchie très claire qui a la forme d’un arbre
Fayol reconnaît la rigidité ou le manque de flexibilité de sa structure et surtout le temps que peut
prendre une information pour traverser les différents échelons hiérarchiques. Il envisage donc
l’existence d’une passerelle pour permettre à l’information de circuler d’un service à un autre.
, Frederick Taylor : l’organisation fonctionnelle ⇒
2 types de liaison :
- Liaison hiérarchique (très simple) ⇒ renvoie à un lien d’autorité.
- Liaison fonctionnelle ⇒ ne renvoie pas à un lien d’autorité, c’est un support, une expertise
apporter aux différentes activités.
La liaison fonctionnelle qui domine la hiérarchique.
- La structure staff and line (par état-major)
La structure combine certains éléments de l’organisation
hiérarchique et d’autres éléments de l’organisation
fonctionnelles.
On retrouve l’unité de commandement et la séparation des
activités par fonctions.
- La structure divisionnelle ⇒
Chacune des divisions renvoie soit à un produit différent soit à un marché différent soit à un
couple marché produit. Chacune des divisions dispose d’une relative autonomie aux autres
divisions. Il y a une duplication de chaque division dans la structure interne. Point positif :
autonomie et chaque division est contrôlée par le biais d’un indicateur, d’un tableau de bord que la
direction reçoit en temps réel.
Point négatif : le coût de ce type d’organisation, l’entreprise n’exploite pas la synergie à l’intérieur
du groupe car l’une des façons d’exploiter serait d’avoir un service administratif pour chaque
division.
- La structure matricielle ⇒
Elle fonctionne à partir d’un nombre limité de département fonctionnelle réduit à leur strict
minimum et sont au service de différentes équipe ou différent projet :
Ce sont des projets éphémères pour lesquels une équipe a été formée et une fois le projet
terminé l’équipe est dissoute et une autre est constituée pour un autre projet. A l’intérieur
de chaque projet on a la fois des fonctionnalités qui ne sont pas sous l’autorité du chef de
projet et des salariés ou elles sont sous l’autorité du chef de projet.
Une structure hyper flexible, c’est une entreprise agile (s’adapte à son environnement), les salariés
1. Les théories de la contingence structurelle
Ce sont des théories dont l’analyse porte sur la structure organisationnelle, ces théories dis que
cette structure est contingente à de nombreux paramètres qui seront propre à l’entreprise ou à
l’environnement mais elle va dépendre.
Les auteurs ⇒ Woodward, Lawrence et Lorsch, Mintzberg…
Toutes ces théories étudient l’impact des variables internes et externes sur la
structuration des organisations.
- Variable interne ⇒ Taille de l’entreprise, stratégie de l’entreprise, les
technologies utilisées, l’âge de l’entreprise, son secteur d’activité.
Elles vont impacter la structure de l’entreprise.
Variable externe ⇒ Environnement de l’entreprise, c’est-à-dire tout ce qui se
passe en dehors de l’entreprise.
Il n’existe pas une structure unique « universelle ».
Diversité des modes d’organisation et des modes de management
Le modèle optimal est celui qui répond aux changements de variables internes et externes qui
affectent la structure de l’entreprise.
Le modèle optimal pour une entreprise donner c’est celui qui répond au changement de variable
interne et externe qui vont elle-même affecter la structure de l’entreprise
Les structures organisationnelles selon Mintzberg : Une structure organisationnel vise 2
grands objectifs :
- Sépare en différentes tâches toutes les activités de l’entreprise.
- Coordonner le travail, les décisions de l’ensemble des participants qui sont affectés à
des tâches distinctes.
Définition des structures organisationnelles :
- On peut les représenter sous la forme d’un l’organigramme : c’est une représentation
graphique plus ou moins détaillée de la structure de l’organisation.
Les structures classiques :
- Henry Fayol : l’organisation hiérarchique ⇒
- Direction générale ⇒ manager
- L’unité de direction ⇒ un travailleur n’a qu’un seul chef
- Une hiérarchie très claire qui a la forme d’un arbre
Fayol reconnaît la rigidité ou le manque de flexibilité de sa structure et surtout le temps que peut
prendre une information pour traverser les différents échelons hiérarchiques. Il envisage donc
l’existence d’une passerelle pour permettre à l’information de circuler d’un service à un autre.
, Frederick Taylor : l’organisation fonctionnelle ⇒
2 types de liaison :
- Liaison hiérarchique (très simple) ⇒ renvoie à un lien d’autorité.
- Liaison fonctionnelle ⇒ ne renvoie pas à un lien d’autorité, c’est un support, une expertise
apporter aux différentes activités.
La liaison fonctionnelle qui domine la hiérarchique.
- La structure staff and line (par état-major)
La structure combine certains éléments de l’organisation
hiérarchique et d’autres éléments de l’organisation
fonctionnelles.
On retrouve l’unité de commandement et la séparation des
activités par fonctions.
- La structure divisionnelle ⇒
Chacune des divisions renvoie soit à un produit différent soit à un marché différent soit à un
couple marché produit. Chacune des divisions dispose d’une relative autonomie aux autres
divisions. Il y a une duplication de chaque division dans la structure interne. Point positif :
autonomie et chaque division est contrôlée par le biais d’un indicateur, d’un tableau de bord que la
direction reçoit en temps réel.
Point négatif : le coût de ce type d’organisation, l’entreprise n’exploite pas la synergie à l’intérieur
du groupe car l’une des façons d’exploiter serait d’avoir un service administratif pour chaque
division.
- La structure matricielle ⇒
Elle fonctionne à partir d’un nombre limité de département fonctionnelle réduit à leur strict
minimum et sont au service de différentes équipe ou différent projet :
Ce sont des projets éphémères pour lesquels une équipe a été formée et une fois le projet
terminé l’équipe est dissoute et une autre est constituée pour un autre projet. A l’intérieur
de chaque projet on a la fois des fonctionnalités qui ne sont pas sous l’autorité du chef de
projet et des salariés ou elles sont sous l’autorité du chef de projet.
Une structure hyper flexible, c’est une entreprise agile (s’adapte à son environnement), les salariés