« J’avais beau souffrir de ma maigreur, de ma pâleur maladive. »
Vivre comme un fantôme
Le bouleversement
Ses secrets se manifestent sous la forme de son « frère imaginaire »
Sa souffrance continue jusqu’à ce que la vérité soit finalement dévoilée
La judéité
Son baptême brusque : « mon baptême avait eu lieu si tard »
« La marque indélébile sur (son) sexe »
Le déni de leur histoire juive ne sert qu’augmenter les troubles su petit garçon.
« Je la sentais proche de moi, sans doute en raison de sa difformité »
Louise allège le fardeau de la solitude de Philippe et lui fournit l’occasion de « parler sans contrainte »
La découverte de la vérité
La connaissance de sa vraie identité lui donne la clé qui ouvre la porte de la communauté perdue à laquelle Philippe
appartient.
En sachant la vérité, il peut voir ses parents sans leur façade.
« Maxime et Tania, mes parents, que je venais de découvrir »
Philippe se transforme
« Je m’étoffais, mes creux se comblaient »
Comme il remplit les blancs dans son identité, son corps répond biologiquement à ce changement psychologique.
La vérité lui permet de grandir et de devenir un homme
Sa croissance n’est plus retardée
Il surmonte la peur de la solitude – il n’a plus besoin d’être l’enfant isolé qui se cache de l’inconnu.
Il est père d’une petite fille ; il a créé sa propre famille et il a établi une place à laquelle il appartient
Quant il rend visite au cimetière juif : « J’ai demandé a ma fille de m’y accompagner »
Philippe ne doit plus faire face aux tristesses du passé tout seul
Il ne veut pas tomber dans les mêmes pièges que ses parents
Rompre le silence et assure que les personnes du passé ne sont pas oubliées
« Je haïssais mon corps »
Hannah a les « yeux pâles … le teint porcelaine » - son apparence reflète sa fragilité
La maisonnée
Tania perturbe le rythme normal de la vie familiale d’Hannah et elle change la trajectoire de la vie de Maxime,
Hannah et Simon.
Son entrance dans la vie de la famille de Maxime et d’Hannah fait écho à l’invasion de la France pendant la SGM. Elle
coupe la famille en deux dans la même manière que la France était divisée en deux zones. C’est chargé d’une valeur
symbolique.
On ressent de la pitié pour Hannah- elle est dépeinte comme une victime du désir entre Maxime et Tania.
, La beauté de Tania sème doute de l’amour de Maxime pour Hannah dans l’esprit de cet homme captivé
Tania est liée au brouillard – une métaphore qui illustre qu’elle signifie le secret dans la famille. Après l’avoir vue, le
narrateur nous dit que Maxime « traverse ces instants dans un brouillard » Le sophisme pathétique
Tania détourne Maxime du bon chemin, il est déchiré entre son désir pour Tania et son devoir comme le mari
d’Hannah.
La moralité de Maxime devient vague comme ce brouillard épais.
Il a du mal à ménager son attirance pour Tania
« Elle vacille, dans un brouillard » (Hannah) La présence de Tania
Les couches de tromperie
Hannah se sent complètement inférieure de Tania, elle perd tout espoir et elle se retire.
Sa dépression est visible quant « Hannah s’efface dans l’ombre de ces deux femmes (Esther et Tania) avec lesquelles
elle ne peut chercher à rivaliser »
« Il veut la conquérir »
Les défauts de Maxime.
Le désire brulant de Maxime expose son attitude prédatrice envers les femmes
Sa conquête de Tania montre son égoïsme ; il est prêt à poursuivre ses intérêts même s’il a les répercussions sur le
plan familial.
Maxime n’est plus un personnage héroïque dans l’esprit de Philippe
« Honteux sans connaître la cause, souvent coupable sans raison »
Sa physionomie reflète son état d’âme
Le malaise de Philippe est dû à son ignorance de son histoire familiale.
Il ne comprend pas l’écart qui existe entre eux (Maxime et Philippe)
La bagarre avec le capitaine de l’équipe de football pendant la projection du film sur le Shoah
La complicité entre Philippe et Louise
La capacité de Louise d’écouter les autres sans juger lui donne le rôle de psychanalyste pour Philippe.
« la femme de caoutchouc »
« le couloir envers la maison de Louise » symbolise le voyage psychanalytique de Philippe de son ignorance du passé
à la vérité de son identité.
Elle prend Philippe sous son aile
« Elle était ma préférée »
Louise montre l’importance de l’esprit communautaire et elle symbolise le pouvoir de l’amour parce que, malgré le
traumatisme du suicide d’Hannah et de la guerre, elle reste une véritable amie de la famille Grimbert.
Louise dépeint la réalité grave de la vie pendant l’Occupation et la difficulté d’être juive en ce temps-là
Grace à Louise, Philippe et le lecteur peuvent mieux comprendre l’impact et la souffrance qui a eu lieu en France
sous le régime de Vichy – « Louise tournait les pages d’une histoire dont je n’avais encore jamais lire »
Son témoignage est vital, sans elle la souffrance des victimes du Nazisme en France et les morts seraient oubliés.
La vie après l’Occupation – elle porte les cicatrices du passé comme une survivante
Vivre comme un fantôme
Le bouleversement
Ses secrets se manifestent sous la forme de son « frère imaginaire »
Sa souffrance continue jusqu’à ce que la vérité soit finalement dévoilée
La judéité
Son baptême brusque : « mon baptême avait eu lieu si tard »
« La marque indélébile sur (son) sexe »
Le déni de leur histoire juive ne sert qu’augmenter les troubles su petit garçon.
« Je la sentais proche de moi, sans doute en raison de sa difformité »
Louise allège le fardeau de la solitude de Philippe et lui fournit l’occasion de « parler sans contrainte »
La découverte de la vérité
La connaissance de sa vraie identité lui donne la clé qui ouvre la porte de la communauté perdue à laquelle Philippe
appartient.
En sachant la vérité, il peut voir ses parents sans leur façade.
« Maxime et Tania, mes parents, que je venais de découvrir »
Philippe se transforme
« Je m’étoffais, mes creux se comblaient »
Comme il remplit les blancs dans son identité, son corps répond biologiquement à ce changement psychologique.
La vérité lui permet de grandir et de devenir un homme
Sa croissance n’est plus retardée
Il surmonte la peur de la solitude – il n’a plus besoin d’être l’enfant isolé qui se cache de l’inconnu.
Il est père d’une petite fille ; il a créé sa propre famille et il a établi une place à laquelle il appartient
Quant il rend visite au cimetière juif : « J’ai demandé a ma fille de m’y accompagner »
Philippe ne doit plus faire face aux tristesses du passé tout seul
Il ne veut pas tomber dans les mêmes pièges que ses parents
Rompre le silence et assure que les personnes du passé ne sont pas oubliées
« Je haïssais mon corps »
Hannah a les « yeux pâles … le teint porcelaine » - son apparence reflète sa fragilité
La maisonnée
Tania perturbe le rythme normal de la vie familiale d’Hannah et elle change la trajectoire de la vie de Maxime,
Hannah et Simon.
Son entrance dans la vie de la famille de Maxime et d’Hannah fait écho à l’invasion de la France pendant la SGM. Elle
coupe la famille en deux dans la même manière que la France était divisée en deux zones. C’est chargé d’une valeur
symbolique.
On ressent de la pitié pour Hannah- elle est dépeinte comme une victime du désir entre Maxime et Tania.
, La beauté de Tania sème doute de l’amour de Maxime pour Hannah dans l’esprit de cet homme captivé
Tania est liée au brouillard – une métaphore qui illustre qu’elle signifie le secret dans la famille. Après l’avoir vue, le
narrateur nous dit que Maxime « traverse ces instants dans un brouillard » Le sophisme pathétique
Tania détourne Maxime du bon chemin, il est déchiré entre son désir pour Tania et son devoir comme le mari
d’Hannah.
La moralité de Maxime devient vague comme ce brouillard épais.
Il a du mal à ménager son attirance pour Tania
« Elle vacille, dans un brouillard » (Hannah) La présence de Tania
Les couches de tromperie
Hannah se sent complètement inférieure de Tania, elle perd tout espoir et elle se retire.
Sa dépression est visible quant « Hannah s’efface dans l’ombre de ces deux femmes (Esther et Tania) avec lesquelles
elle ne peut chercher à rivaliser »
« Il veut la conquérir »
Les défauts de Maxime.
Le désire brulant de Maxime expose son attitude prédatrice envers les femmes
Sa conquête de Tania montre son égoïsme ; il est prêt à poursuivre ses intérêts même s’il a les répercussions sur le
plan familial.
Maxime n’est plus un personnage héroïque dans l’esprit de Philippe
« Honteux sans connaître la cause, souvent coupable sans raison »
Sa physionomie reflète son état d’âme
Le malaise de Philippe est dû à son ignorance de son histoire familiale.
Il ne comprend pas l’écart qui existe entre eux (Maxime et Philippe)
La bagarre avec le capitaine de l’équipe de football pendant la projection du film sur le Shoah
La complicité entre Philippe et Louise
La capacité de Louise d’écouter les autres sans juger lui donne le rôle de psychanalyste pour Philippe.
« la femme de caoutchouc »
« le couloir envers la maison de Louise » symbolise le voyage psychanalytique de Philippe de son ignorance du passé
à la vérité de son identité.
Elle prend Philippe sous son aile
« Elle était ma préférée »
Louise montre l’importance de l’esprit communautaire et elle symbolise le pouvoir de l’amour parce que, malgré le
traumatisme du suicide d’Hannah et de la guerre, elle reste une véritable amie de la famille Grimbert.
Louise dépeint la réalité grave de la vie pendant l’Occupation et la difficulté d’être juive en ce temps-là
Grace à Louise, Philippe et le lecteur peuvent mieux comprendre l’impact et la souffrance qui a eu lieu en France
sous le régime de Vichy – « Louise tournait les pages d’une histoire dont je n’avais encore jamais lire »
Son témoignage est vital, sans elle la souffrance des victimes du Nazisme en France et les morts seraient oubliés.
La vie après l’Occupation – elle porte les cicatrices du passé comme une survivante
