Samenvatting – Chien blanc – Romain Gary
I
1.
17 février 1968.
Beverly Hills: un berger allemand entra dans l‘existence du ‘je’-personnage. Il venait
de rejoindre sa femme Jean Seberg (actrice). Le ‘je’-personnage est écrivain.
Chien : Sandy ; chat birman : Bruno ; chat siamoise: Maïs; une vieille chatte de
gouttière : Bippo ; un toucan : Billy-Billy.
Un python : Pete l’Étrangleur – donner au zoo privé de Jack Carruthers, le ‘je’ lui
rends visite de temps en temps (en commun : une extrême prudence dans les
rapports humains).
Sandy a ramené le berger allemand (Batka = petit père, pépère). Batka est aimable
avec ses amis (-> Blancs) mais il se transforme en une créature féroce envers les
Noirs -> nettoyeur de sa piscine, employé de la Western Union.
2.
Batka attaque le livreur d’un supermarché (un noir). Jack Carruthers, un ancien
cowboy de l’écran, spécialisé dans le dressement des animaux pour le cinéma (le
‘Noatis Ranch’ dans San Fernando Valley. Cascadeur dans les westerns. Un homme
tranquille. Gary veut qu’il guérisse l’animal. Ce chien a été dressé spécialement pour
attaquer les Noirs. Jack dit que le chien est trop vieux, mail il va essayer.
Un ami mourant, un ancien ‘purge’ de McCarthy des années 1952, qu’on empêcha
de travailler pendant dix ans, au moment de la chasse aux sorcières ‘subversives’. A
la radio des bagarres raciales à Detroit. Tous les jours, il se rend au chenil.
Le gardien noir Keys (le maître des clés), histilité sauvage – Batka. Keys dit ‘White
dog’ (chien blanc). Il vient du Sud. On appelle là-bas ‘chiens blancs’ les toutous
spécialement dressés pour aider la police, contre les Noirs.
Citations de Hugo. « lorsque je dit ‘je’, c’est de vous tous que je parle, malheureux’.
Une réciproque : Quand je dis vous, c’est aussi de moi que je parle. Chanson : Tea
for two and two for tea et on peut faire un autre: ‘Moi, c’est vous, et vous c’est moi –
la fraternité.
Jadis on dressait ces chiens pour traquer les esclaves évadés. Maintenant c’est
contre les manifestants.
Jean était à une réunion de la Urbain League, qui s’occupe du reclassement des
chômeurs noir. Il y a relativement peu de chômeurs parmi les chômeurs noirs. Les
syndicats-gangsters ne leur donne pas de travail. Gary ne va pas à une réunion de
libéraux engagés dans la lutte pour les droits civiques – solidarité avec les militants
noirs. Son excuse : Vietnam, Biafra, le sort des Indiens massacrés en Amazone, des
inondations au Brésil, le sort des intellectuels soviétiques, cela lui pèse.
Il a obtenu un compte rendu : on voulait obtenir les fonds nécessaires pour faire vivre
une école sans haine, sur le degré atteint par la haine des Blancs dans le psychisme
des enfants noirs. Masochisme, exhibitionnisme, showmanship, connerie
(l’escroquerie, faire marcher le Blanc).
Une heure de cours à pied à travers Beverly Hills (pas pour se maintenir en forme).
Ce sont des tentatives de fuite.
, Jack lui demande l’autorisation de lui (chien) faire une piqûre. Batka a à moitié tué
Keys. Keys est parti. Gary dit non. Jack lui donne l’adresse d’un chenil où il n’y a pas
de Noirs.
Gardy demande à Chuck Belden de lui prêter son revolver. Il enferme Batka dans le
garage. Auprès de Grffith’s Park il essaie de tirer sur Batka. Il tire, il a raté.
Tuer ce chien – défaitisme. Capitulation devant l’ennemi.
Gary demande Jack s’il reprend Batka, si Keys (un musulman noir) revient travailler
chez lui. C’est d’accord. Gary enferme Batka pour la nuit dans le garage. Il y a une
réunion de militants dans le salon.
Jean Seberg appartient depuis l’âge de quatorze ans à tous les organisations de
lutte pour l’égalité des drois. Cela crée un problème grave entre elle et lui. Il y a
vingt-quatre ans de différence.
Gary trouve Keys. Keys lui dit de ramener le chien au chenil. Il va s’en occuper
personnellement. Ça prendra du temps, mais il est sûr d’y arriver. Keys le prend pour
un Blanc.
3. - 4.
Gary ramène Batka au chenil et annonce à Jack le retour de Keys (spécialiste en
serpents).
Célia, l’amie espagnole.
Jean soutient une école Montessori, dont un des buts est de donner aux petit Noirs
une éducation ‘sans haine’, c’est donc une école différente. Le problème noir : le
problème de la Bêtise. La connerie.
Son envie de traité de ‘ne plus m’en mêler’. Les ‘belles âmes’, parasites autour de
Jean. Il ne se mit jamais dans les affaires financières de Jean (la maison est d’elle).
Ils jouent en misant sur son double sentiment de culpabilité celui de la vedette de
cinéma (méprise et envie) et celui de la luthérienne (péché original).
Il demande son agent d’arranger un reportage au Japon où il se sent un étranger,
une barrière de langage qui vous tenez éloigné.
Les vrais patrons de Batka viennent chercher leur ‘Fido’ (grand-père Kruschen + 2
grands enfants). Gary et Jean parlent français entre eux (elle ne veut pas qu’il rend
le chien). Le grand-père a été sheriff. Son fils a pris sa retraite de la police, il veut
ouvrir un chenil. Son fils a dressé le chien. Gary dit qu’il n’a plus le chien, qu’il a
donné le chien à son ami, un Noir (amitié instantanée) et que cet ami a emmené le
chien en Afrique (Gary a aussi un enfant).
Gary dit à Jean : laisse tomber. Elle ne peut pas toucher les vrais, les faux, les
professionnels de la souffrance des autres, c’est triste. Il y a une barrière du métier,
entouré de trop de publicité. Dans cette école ‘sans haine ces petits noirs vont être
complètement désarmés et désadapté, face aux autres.
Gary en a assez. Il fout le camp. Il ne veut pas faire de la littérature avec les Noirs
américains. Il part. Il demande Batka de ne pas mordre seulement les Noirs.
5.
Batka s’était évadé du chenil et venait les rejoindre. Des noirs du ranch ont essayé
de tuer/empoissonner Batka.
Terry : 18 ans, noir. Bill Tatum : 70 ans, gardien, blanc.
I
1.
17 février 1968.
Beverly Hills: un berger allemand entra dans l‘existence du ‘je’-personnage. Il venait
de rejoindre sa femme Jean Seberg (actrice). Le ‘je’-personnage est écrivain.
Chien : Sandy ; chat birman : Bruno ; chat siamoise: Maïs; une vieille chatte de
gouttière : Bippo ; un toucan : Billy-Billy.
Un python : Pete l’Étrangleur – donner au zoo privé de Jack Carruthers, le ‘je’ lui
rends visite de temps en temps (en commun : une extrême prudence dans les
rapports humains).
Sandy a ramené le berger allemand (Batka = petit père, pépère). Batka est aimable
avec ses amis (-> Blancs) mais il se transforme en une créature féroce envers les
Noirs -> nettoyeur de sa piscine, employé de la Western Union.
2.
Batka attaque le livreur d’un supermarché (un noir). Jack Carruthers, un ancien
cowboy de l’écran, spécialisé dans le dressement des animaux pour le cinéma (le
‘Noatis Ranch’ dans San Fernando Valley. Cascadeur dans les westerns. Un homme
tranquille. Gary veut qu’il guérisse l’animal. Ce chien a été dressé spécialement pour
attaquer les Noirs. Jack dit que le chien est trop vieux, mail il va essayer.
Un ami mourant, un ancien ‘purge’ de McCarthy des années 1952, qu’on empêcha
de travailler pendant dix ans, au moment de la chasse aux sorcières ‘subversives’. A
la radio des bagarres raciales à Detroit. Tous les jours, il se rend au chenil.
Le gardien noir Keys (le maître des clés), histilité sauvage – Batka. Keys dit ‘White
dog’ (chien blanc). Il vient du Sud. On appelle là-bas ‘chiens blancs’ les toutous
spécialement dressés pour aider la police, contre les Noirs.
Citations de Hugo. « lorsque je dit ‘je’, c’est de vous tous que je parle, malheureux’.
Une réciproque : Quand je dis vous, c’est aussi de moi que je parle. Chanson : Tea
for two and two for tea et on peut faire un autre: ‘Moi, c’est vous, et vous c’est moi –
la fraternité.
Jadis on dressait ces chiens pour traquer les esclaves évadés. Maintenant c’est
contre les manifestants.
Jean était à une réunion de la Urbain League, qui s’occupe du reclassement des
chômeurs noir. Il y a relativement peu de chômeurs parmi les chômeurs noirs. Les
syndicats-gangsters ne leur donne pas de travail. Gary ne va pas à une réunion de
libéraux engagés dans la lutte pour les droits civiques – solidarité avec les militants
noirs. Son excuse : Vietnam, Biafra, le sort des Indiens massacrés en Amazone, des
inondations au Brésil, le sort des intellectuels soviétiques, cela lui pèse.
Il a obtenu un compte rendu : on voulait obtenir les fonds nécessaires pour faire vivre
une école sans haine, sur le degré atteint par la haine des Blancs dans le psychisme
des enfants noirs. Masochisme, exhibitionnisme, showmanship, connerie
(l’escroquerie, faire marcher le Blanc).
Une heure de cours à pied à travers Beverly Hills (pas pour se maintenir en forme).
Ce sont des tentatives de fuite.
, Jack lui demande l’autorisation de lui (chien) faire une piqûre. Batka a à moitié tué
Keys. Keys est parti. Gary dit non. Jack lui donne l’adresse d’un chenil où il n’y a pas
de Noirs.
Gardy demande à Chuck Belden de lui prêter son revolver. Il enferme Batka dans le
garage. Auprès de Grffith’s Park il essaie de tirer sur Batka. Il tire, il a raté.
Tuer ce chien – défaitisme. Capitulation devant l’ennemi.
Gary demande Jack s’il reprend Batka, si Keys (un musulman noir) revient travailler
chez lui. C’est d’accord. Gary enferme Batka pour la nuit dans le garage. Il y a une
réunion de militants dans le salon.
Jean Seberg appartient depuis l’âge de quatorze ans à tous les organisations de
lutte pour l’égalité des drois. Cela crée un problème grave entre elle et lui. Il y a
vingt-quatre ans de différence.
Gary trouve Keys. Keys lui dit de ramener le chien au chenil. Il va s’en occuper
personnellement. Ça prendra du temps, mais il est sûr d’y arriver. Keys le prend pour
un Blanc.
3. - 4.
Gary ramène Batka au chenil et annonce à Jack le retour de Keys (spécialiste en
serpents).
Célia, l’amie espagnole.
Jean soutient une école Montessori, dont un des buts est de donner aux petit Noirs
une éducation ‘sans haine’, c’est donc une école différente. Le problème noir : le
problème de la Bêtise. La connerie.
Son envie de traité de ‘ne plus m’en mêler’. Les ‘belles âmes’, parasites autour de
Jean. Il ne se mit jamais dans les affaires financières de Jean (la maison est d’elle).
Ils jouent en misant sur son double sentiment de culpabilité celui de la vedette de
cinéma (méprise et envie) et celui de la luthérienne (péché original).
Il demande son agent d’arranger un reportage au Japon où il se sent un étranger,
une barrière de langage qui vous tenez éloigné.
Les vrais patrons de Batka viennent chercher leur ‘Fido’ (grand-père Kruschen + 2
grands enfants). Gary et Jean parlent français entre eux (elle ne veut pas qu’il rend
le chien). Le grand-père a été sheriff. Son fils a pris sa retraite de la police, il veut
ouvrir un chenil. Son fils a dressé le chien. Gary dit qu’il n’a plus le chien, qu’il a
donné le chien à son ami, un Noir (amitié instantanée) et que cet ami a emmené le
chien en Afrique (Gary a aussi un enfant).
Gary dit à Jean : laisse tomber. Elle ne peut pas toucher les vrais, les faux, les
professionnels de la souffrance des autres, c’est triste. Il y a une barrière du métier,
entouré de trop de publicité. Dans cette école ‘sans haine ces petits noirs vont être
complètement désarmés et désadapté, face aux autres.
Gary en a assez. Il fout le camp. Il ne veut pas faire de la littérature avec les Noirs
américains. Il part. Il demande Batka de ne pas mordre seulement les Noirs.
5.
Batka s’était évadé du chenil et venait les rejoindre. Des noirs du ranch ont essayé
de tuer/empoissonner Batka.
Terry : 18 ans, noir. Bill Tatum : 70 ans, gardien, blanc.