LA JUSTICE
Définitions :
NOTION N°3
La justice désigne un principe juridique et moral visant à attribuer à chacun ce qu’il lui revient
Caractère de ce qui est juste, conforme au droit positif (légal) et naturel (légitime). Regroupe le
pouvoir judiciaire et ses institutions.
La justice désigne la vertu qui exige le respect et la défense du droit et de l’égalité.
La justice signifie que les actions humaines doivent être récompensées ou sanctionnées en
fonction de leur mérite au regard du droit et de la morale.
La justice est le but de toute politique dans la mesure où elle vise l’égalité véritable où elle ne
tient pas compte ni des classes sociales ne de la personnalité de l’individu
JUSTICE ET UTILITÉS LES ENJEUX CONTEMPORAINS
DE LA JUSTICE
L’utilitarisme et la maximisation du
bien-être : selon les utilitaristes, la Les droits de l’homme : les débats de la
justice sert à maximiser le bonheur ou justice incluent la protection des droits
le bien-être collectif, en prenant en fondamentaux de tous les individus tels que
compte les conséquences des actions. la liberté d’expression, l’égalité devant la loi
et la dignité humaine.
Les critiques de l’utilitarisme : des
philosophes soulignent les limites de La justice sociale : la question de
l’évaluation du bien-être collectif et les redistribution des ressources, d’élimination
dilemmes moraux liés à la protection des inégalités économiques et de garantie à
des droits individuels. l’accès aux services essentiels font partie
des débats sur la justice sociale.
La justice intergénérationnelle : les
préoccupations environnementales et la
durabilité des ressources soulèvent des
questions de justice entre les générations
présentes et futures concernant la répartition
équitable en avantages et en charge.
DES PHILOSOPHES SUR LA JUSTICE
Calliclès : est juste la hiérarchie de la nature. Il considère le fait qu'il existe des moins forts et
des plus forts dans la nature comme juste. Ainsi, il considère l'instauration de lois pour l'égalité
comme une injustice.
Rousseau : Il distingue force et droit. Le droit relève d'une volonté et engendre des devoirs
alors que la force entraîne prudence et nécessité.
Hobbes : Il n’existe pas de justice à l’état de nature. l’État permet donc d’instaurer la justice.
Définitions :
NOTION N°3
La justice désigne un principe juridique et moral visant à attribuer à chacun ce qu’il lui revient
Caractère de ce qui est juste, conforme au droit positif (légal) et naturel (légitime). Regroupe le
pouvoir judiciaire et ses institutions.
La justice désigne la vertu qui exige le respect et la défense du droit et de l’égalité.
La justice signifie que les actions humaines doivent être récompensées ou sanctionnées en
fonction de leur mérite au regard du droit et de la morale.
La justice est le but de toute politique dans la mesure où elle vise l’égalité véritable où elle ne
tient pas compte ni des classes sociales ne de la personnalité de l’individu
JUSTICE ET UTILITÉS LES ENJEUX CONTEMPORAINS
DE LA JUSTICE
L’utilitarisme et la maximisation du
bien-être : selon les utilitaristes, la Les droits de l’homme : les débats de la
justice sert à maximiser le bonheur ou justice incluent la protection des droits
le bien-être collectif, en prenant en fondamentaux de tous les individus tels que
compte les conséquences des actions. la liberté d’expression, l’égalité devant la loi
et la dignité humaine.
Les critiques de l’utilitarisme : des
philosophes soulignent les limites de La justice sociale : la question de
l’évaluation du bien-être collectif et les redistribution des ressources, d’élimination
dilemmes moraux liés à la protection des inégalités économiques et de garantie à
des droits individuels. l’accès aux services essentiels font partie
des débats sur la justice sociale.
La justice intergénérationnelle : les
préoccupations environnementales et la
durabilité des ressources soulèvent des
questions de justice entre les générations
présentes et futures concernant la répartition
équitable en avantages et en charge.
DES PHILOSOPHES SUR LA JUSTICE
Calliclès : est juste la hiérarchie de la nature. Il considère le fait qu'il existe des moins forts et
des plus forts dans la nature comme juste. Ainsi, il considère l'instauration de lois pour l'égalité
comme une injustice.
Rousseau : Il distingue force et droit. Le droit relève d'une volonté et engendre des devoirs
alors que la force entraîne prudence et nécessité.
Hobbes : Il n’existe pas de justice à l’état de nature. l’État permet donc d’instaurer la justice.
