Le diabète de type 2
I. Définition :
Le diabète de type 2, diabète non-insulino dépendant est un trouble de la régulation de
la glycémie, dont les principaux facteurs sont génétiques et environnementaux. Il
débute par une insulinorésistance, puis un hyperinsulinisme qui évolue vers un
hypoinsulinisme.
II. Diagnostic diététique :
Exemple : Alimentation déséquilibrés avec une consommation trop importante de
produits sucrés en lien avec un manque de connaissances vis-à-vis de ces derniers se
manifestant par un déséquilibre des glycémies dans le cadre du diabète de type 2.
III. Apports recommandés et tableau de justification : (+justifications habituelles) :
Nutriments Recommandations Justifications
Energie IMC = Poids/(Taille)² IMC correspondant à… selon l’OMS
NAP En fonction de la personne et de ses activités
DEJ = MB X NAP Alimentation hypo-calorique en cas d’obésité.
Protéines Maximum 1,2g/Kg de poids Alimentation légèrement hyperprotéinée pour le
souhaitable/j de protéines de maintien de la masse maigre dans les alimentations
bonne qualité hypocaloriques mais ne dépassant pas 1,2g/kg de
poids souhaitable pour ne pas surcharger le travail
rénal. On privilégiera les protéines animales faibles
en acides gras.
Lipides 35 à 40% de l’AET voire 30 à Complètent la ration. Alimentation normo-lipidique
40% pour la prévention des voire légèrement hypolipidique avec un choix de
complications dues à bons acides gras pour prévenir les complications
l’obésité, le diabète et le cardiovasculaires du diabète et limiter
syndrome métabolique. l’insulinorésistance.
Glucides 50 à 55% de l’AET Alimentation normoglucidique. On privilégiera les
glucides à IG bas. Répartir les glucides sur la journée
Produits sucrés < 10% (0% si ou en fonction du traitement.
TG, 5% en cas de diabète Le sucre et les produits sucrés ont un IG moyen, ce
déséquilibré ou d’obésité) qui ne justifie plus leur interdiction. Cependant ils
peuvent être restreints en cas d’obésité. Les produits
sucrés seront pris en fin de repas et non de façon
isolée. Les édulcorants n’ont pas d’effet sur la
glycémie mais maintiennent l’habitude du goût
sucré.
Eau totale 1Ml + 1Kcal calculée sur l’AET Apport normal, hydratation des fibres, aucun soda
réel avec le poids actuel n’est autorisé.
50% sous forme d’eau de
boisson
Fibres 30g/j Un bon apport en fibres est indispensable pour leurs
effets hypoglycémiants et hypolipidémiants. A
associer aux glucides à chaque repas pour diminuer
l’IG du repas.
Sels minéraux RESPECT DES RNP, privilégier un bon apport en antioxydant : vitamines C et E, bêta-
Vitamines carotène (provitamine A), zinc et sélénium.
Fractionnement 3 repas/j Limiter au maximum le grignotage et préférer une
vraie collation si besoin.
Alcool Limiter à 2 verres de vin/j L’alcool arrête la néoglucogénèse du foie donc
I. Définition :
Le diabète de type 2, diabète non-insulino dépendant est un trouble de la régulation de
la glycémie, dont les principaux facteurs sont génétiques et environnementaux. Il
débute par une insulinorésistance, puis un hyperinsulinisme qui évolue vers un
hypoinsulinisme.
II. Diagnostic diététique :
Exemple : Alimentation déséquilibrés avec une consommation trop importante de
produits sucrés en lien avec un manque de connaissances vis-à-vis de ces derniers se
manifestant par un déséquilibre des glycémies dans le cadre du diabète de type 2.
III. Apports recommandés et tableau de justification : (+justifications habituelles) :
Nutriments Recommandations Justifications
Energie IMC = Poids/(Taille)² IMC correspondant à… selon l’OMS
NAP En fonction de la personne et de ses activités
DEJ = MB X NAP Alimentation hypo-calorique en cas d’obésité.
Protéines Maximum 1,2g/Kg de poids Alimentation légèrement hyperprotéinée pour le
souhaitable/j de protéines de maintien de la masse maigre dans les alimentations
bonne qualité hypocaloriques mais ne dépassant pas 1,2g/kg de
poids souhaitable pour ne pas surcharger le travail
rénal. On privilégiera les protéines animales faibles
en acides gras.
Lipides 35 à 40% de l’AET voire 30 à Complètent la ration. Alimentation normo-lipidique
40% pour la prévention des voire légèrement hypolipidique avec un choix de
complications dues à bons acides gras pour prévenir les complications
l’obésité, le diabète et le cardiovasculaires du diabète et limiter
syndrome métabolique. l’insulinorésistance.
Glucides 50 à 55% de l’AET Alimentation normoglucidique. On privilégiera les
glucides à IG bas. Répartir les glucides sur la journée
Produits sucrés < 10% (0% si ou en fonction du traitement.
TG, 5% en cas de diabète Le sucre et les produits sucrés ont un IG moyen, ce
déséquilibré ou d’obésité) qui ne justifie plus leur interdiction. Cependant ils
peuvent être restreints en cas d’obésité. Les produits
sucrés seront pris en fin de repas et non de façon
isolée. Les édulcorants n’ont pas d’effet sur la
glycémie mais maintiennent l’habitude du goût
sucré.
Eau totale 1Ml + 1Kcal calculée sur l’AET Apport normal, hydratation des fibres, aucun soda
réel avec le poids actuel n’est autorisé.
50% sous forme d’eau de
boisson
Fibres 30g/j Un bon apport en fibres est indispensable pour leurs
effets hypoglycémiants et hypolipidémiants. A
associer aux glucides à chaque repas pour diminuer
l’IG du repas.
Sels minéraux RESPECT DES RNP, privilégier un bon apport en antioxydant : vitamines C et E, bêta-
Vitamines carotène (provitamine A), zinc et sélénium.
Fractionnement 3 repas/j Limiter au maximum le grignotage et préférer une
vraie collation si besoin.
Alcool Limiter à 2 verres de vin/j L’alcool arrête la néoglucogénèse du foie donc