Citations Fleurs du Mal
● C’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent ("Au lecteur")
● Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or. (ProG d’épilogue pr la 2è édition FdM
1861)
● Et le ciel regardait cette carcasse superbe
Comme une fleur s’épanouir. (« La Charogne », Spleen et Idéal)
● Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ? ("L’Ennemi", Spleen et Idéal)
● O douleur! O douleur! Le Temps mange la vie,
Et l’obscur Ennemi qui mous ronge le coeur
Du sans que nous perdons croît et se fortifie ("L’Ennemie", Spleen et Idéal)
● La puanteur était si forte, sur l’herbe
Que vous crûtes vous évanouir ("Une charogne", Spleen et Idéal)
● Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. ("Correspondances", S et I)
● Dont la robe par ses trous
Laisse voir la pauvreté (“À une Mendiante rousse”, Tableaux Parisiens)
● Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. ("L'invitation au voyage”, S
et I")
● Nous avons dit souvent de impérissables choses. ("Le balcon", S et I)
● Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l’abîme,
Ô Beauté ? ton regard infernal et divin,
verse confusément le bienfait et le crime (« Hymne à la beauté », S et I)
● Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher.( L’albatros", Spleen et Idéal)
● C’est la mort qui console, hélas et qui fait vivre;
C’est le but de la vie, et c’est le seul espoir
Qui, comme un élixir, nous enivre
● C’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent ("Au lecteur")
● Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or. (ProG d’épilogue pr la 2è édition FdM
1861)
● Et le ciel regardait cette carcasse superbe
Comme une fleur s’épanouir. (« La Charogne », Spleen et Idéal)
● Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ? ("L’Ennemi", Spleen et Idéal)
● O douleur! O douleur! Le Temps mange la vie,
Et l’obscur Ennemi qui mous ronge le coeur
Du sans que nous perdons croît et se fortifie ("L’Ennemie", Spleen et Idéal)
● La puanteur était si forte, sur l’herbe
Que vous crûtes vous évanouir ("Une charogne", Spleen et Idéal)
● Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. ("Correspondances", S et I)
● Dont la robe par ses trous
Laisse voir la pauvreté (“À une Mendiante rousse”, Tableaux Parisiens)
● Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. ("L'invitation au voyage”, S
et I")
● Nous avons dit souvent de impérissables choses. ("Le balcon", S et I)
● Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l’abîme,
Ô Beauté ? ton regard infernal et divin,
verse confusément le bienfait et le crime (« Hymne à la beauté », S et I)
● Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher.( L’albatros", Spleen et Idéal)
● C’est la mort qui console, hélas et qui fait vivre;
C’est le but de la vie, et c’est le seul espoir
Qui, comme un élixir, nous enivre