Chapitre 1 : Famille social et famille biologique
1. Les variabilités des structures
familiales dans l’espace
2. Apports théoriques de l’ethnologie
3. Apports lexicologiques de l’ethnologie
Chapitre 2 : La diversité des structures (France – Europe)
1. Les figures illusoires du passé
2. La multiplicité des formes de vie
domestique
A) Les communautés taisibles
B) Les familles souches ou familles-maisons
C) Les familles simple (nucléaire ou étroite)
3. Les rigidités du temps
A) Les fonctions productrices de la famille contemporaines
B) Fonctions patrimoniales de la famille contemporaine
C) La multiplicité des structures familiales aujourd’hui
4. Structures contemporaines de la vie
quotidienne
A) Les familles monoparentales
( la stigmatisation – la temporalité)
B) La cohabitation (union libre, concubinage)
Chapitre 3: Ordre social et ordre familial
1. La définition sociale de l’enfance et
de la jeunesse
A) La perception de l’enfance sous l’Ancien régime
B) La transformation du comportement bourgeois
C) La définition sociale de la jeunesse
2. Organisations de jeunesse
A) Le déclin des organisations de jeunesse
B) Les traces du passé qui sont toujours d’actualité ….
C) L’activité juvénile féminine dans l’espace publique
, 3. Invention, construction sociale de la
notion d’adolescence
A) La structuration de la nouvelle jeunesse
( nouvelles activités juvéniles
d’encadrement – déclin depuis 1950)
B) Confluence de trois mouvements
C) La domestication des familles populaires
D) La domestication des familles contemporaines
4. La vie conjuguée
A) Le sentiment amoureux
B) Les rapports conjugaux
SOCIOLOGIE DE LA FAMILLE :
Introduction – à propos de la sociologie et de la famille :
● Sociologie = « ce qui est, et non ce qui doit être » ; « il s’agit de rechercher la véritable
parenté des choses » (travail d’objectivation de la sociologie). Il faut rompre avec une vision
commune des sciences sociales qui divise les disciplines.
● Famille = objet pré-construit imposé. C’est la 1ère instance de S qui permet la construction
et l’apprentissage, c’est un espace naturel (dû à la relation biologique). Cela prend forme
d’enjeu politique et morale porté par l’État.
✗ Espace social injuste :
Femme Homme
Homme seul 2H30
Femme seule 2H48
Couple sans enfant 4H12 2H09
Couple avec 2 enfants 6H40 1H30
✗ Espace social dangereux et violent :
→ 10 % des F était victime des violences conjugales
insultes et menaces verbales : 4 %
chantage affectif sur les enfants : 2 %
, agressions physiques : 2 %
viols et pratiques sexuelles imposées : 1 %
+ 37 % pressions psychologiques
Chapitre 1 : Famille social et famille
biologique :
● rappel : pour savoir si un fait est social (ou pas), il faut tenir compte de la variabilité du tps
et de l’espace.
● La variabilité de l’espace est contrôler en prenant appuis sur l’anthropologie pour plusieurs
apports :
➢ méthodologie : permet la rupture
➢ théorique : distinction entre la nature et la culture
➢ lexicologique : permet la reconstruction
A) Les variabilités des structures familiales dans l’espace :
MAUS dvlp l’idée de la morphologie sociale (plus précisément sur le fonctionnement des familles
Inuite). Il dégage des traits caractéristiques du fonctionnement familiales de cette culture :
1. les H préfèrent les veuves (construction du devoir moral où les H vont se marier avec les
veuves)
3
2. absence de nom de famille (équivalent d’un prénom, et le nom est lié à l’établissement
commun)
3. absence de violence physique sur les enfants (mécanisme construit par les Inuites tiré de la
vision du monde et de la mort → violence sur les enfants = violence sur les ancêtre)
4. abandon/assassinat des vieillards (en règle général les vieux parfait)
5. le vocabulaire de la parenté (les grds parents ne font aucunes # dans la relation avec les
petits enfants et petit(e) neveu/nièce, idem pour les enfants envers leurs grds oncles/tantes et
grd mère/père)
6. unique « banc » (= lit)
7. abs d’org domestique dans le tps qui varie selon les saisons (l’été les Inuites vivent en
petite famille nucléaire, l’hiver ils se réunissent dans un établissement où ils partagent une
vie collectif sous l’autorité d’un chef de la communauté)
8. logiques de sanctions et d’humiliations
F.HERITIER s’intéresse aux rôles des hommes et des femmes Nuers avant la guerre. Une femme
est un homme se maries, la femme va s’installer chez l’homme, le marie donne une compensation
financière au oncle de la femme. Mais, la femme est stérile donc elle est assimilé à un homme. Cet
« homme » va donc se retrouver à la tête du patrimoine, se remarier avec une femme, et le couple
fera appel à un domestique pour faire un enfant à la femme. Les enfants utilisent le vocabulaire.
➢ Constat : le mariage légale entre 2 femmes biologiques, mais ce couple est considéré comme
hétérosexuel
➢ Conséquence : les statuts et rôles masculins et féminins peuvent être indépendants du sexe
biologiques.
Constats sur les « dons » d’enfants dans les sociétés :
➔ Océaniennes : pas à n’importe qui, cela reste dans un certain réseau de connaissance.
1. Les variabilités des structures
familiales dans l’espace
2. Apports théoriques de l’ethnologie
3. Apports lexicologiques de l’ethnologie
Chapitre 2 : La diversité des structures (France – Europe)
1. Les figures illusoires du passé
2. La multiplicité des formes de vie
domestique
A) Les communautés taisibles
B) Les familles souches ou familles-maisons
C) Les familles simple (nucléaire ou étroite)
3. Les rigidités du temps
A) Les fonctions productrices de la famille contemporaines
B) Fonctions patrimoniales de la famille contemporaine
C) La multiplicité des structures familiales aujourd’hui
4. Structures contemporaines de la vie
quotidienne
A) Les familles monoparentales
( la stigmatisation – la temporalité)
B) La cohabitation (union libre, concubinage)
Chapitre 3: Ordre social et ordre familial
1. La définition sociale de l’enfance et
de la jeunesse
A) La perception de l’enfance sous l’Ancien régime
B) La transformation du comportement bourgeois
C) La définition sociale de la jeunesse
2. Organisations de jeunesse
A) Le déclin des organisations de jeunesse
B) Les traces du passé qui sont toujours d’actualité ….
C) L’activité juvénile féminine dans l’espace publique
, 3. Invention, construction sociale de la
notion d’adolescence
A) La structuration de la nouvelle jeunesse
( nouvelles activités juvéniles
d’encadrement – déclin depuis 1950)
B) Confluence de trois mouvements
C) La domestication des familles populaires
D) La domestication des familles contemporaines
4. La vie conjuguée
A) Le sentiment amoureux
B) Les rapports conjugaux
SOCIOLOGIE DE LA FAMILLE :
Introduction – à propos de la sociologie et de la famille :
● Sociologie = « ce qui est, et non ce qui doit être » ; « il s’agit de rechercher la véritable
parenté des choses » (travail d’objectivation de la sociologie). Il faut rompre avec une vision
commune des sciences sociales qui divise les disciplines.
● Famille = objet pré-construit imposé. C’est la 1ère instance de S qui permet la construction
et l’apprentissage, c’est un espace naturel (dû à la relation biologique). Cela prend forme
d’enjeu politique et morale porté par l’État.
✗ Espace social injuste :
Femme Homme
Homme seul 2H30
Femme seule 2H48
Couple sans enfant 4H12 2H09
Couple avec 2 enfants 6H40 1H30
✗ Espace social dangereux et violent :
→ 10 % des F était victime des violences conjugales
insultes et menaces verbales : 4 %
chantage affectif sur les enfants : 2 %
, agressions physiques : 2 %
viols et pratiques sexuelles imposées : 1 %
+ 37 % pressions psychologiques
Chapitre 1 : Famille social et famille
biologique :
● rappel : pour savoir si un fait est social (ou pas), il faut tenir compte de la variabilité du tps
et de l’espace.
● La variabilité de l’espace est contrôler en prenant appuis sur l’anthropologie pour plusieurs
apports :
➢ méthodologie : permet la rupture
➢ théorique : distinction entre la nature et la culture
➢ lexicologique : permet la reconstruction
A) Les variabilités des structures familiales dans l’espace :
MAUS dvlp l’idée de la morphologie sociale (plus précisément sur le fonctionnement des familles
Inuite). Il dégage des traits caractéristiques du fonctionnement familiales de cette culture :
1. les H préfèrent les veuves (construction du devoir moral où les H vont se marier avec les
veuves)
3
2. absence de nom de famille (équivalent d’un prénom, et le nom est lié à l’établissement
commun)
3. absence de violence physique sur les enfants (mécanisme construit par les Inuites tiré de la
vision du monde et de la mort → violence sur les enfants = violence sur les ancêtre)
4. abandon/assassinat des vieillards (en règle général les vieux parfait)
5. le vocabulaire de la parenté (les grds parents ne font aucunes # dans la relation avec les
petits enfants et petit(e) neveu/nièce, idem pour les enfants envers leurs grds oncles/tantes et
grd mère/père)
6. unique « banc » (= lit)
7. abs d’org domestique dans le tps qui varie selon les saisons (l’été les Inuites vivent en
petite famille nucléaire, l’hiver ils se réunissent dans un établissement où ils partagent une
vie collectif sous l’autorité d’un chef de la communauté)
8. logiques de sanctions et d’humiliations
F.HERITIER s’intéresse aux rôles des hommes et des femmes Nuers avant la guerre. Une femme
est un homme se maries, la femme va s’installer chez l’homme, le marie donne une compensation
financière au oncle de la femme. Mais, la femme est stérile donc elle est assimilé à un homme. Cet
« homme » va donc se retrouver à la tête du patrimoine, se remarier avec une femme, et le couple
fera appel à un domestique pour faire un enfant à la femme. Les enfants utilisent le vocabulaire.
➢ Constat : le mariage légale entre 2 femmes biologiques, mais ce couple est considéré comme
hétérosexuel
➢ Conséquence : les statuts et rôles masculins et féminins peuvent être indépendants du sexe
biologiques.
Constats sur les « dons » d’enfants dans les sociétés :
➔ Océaniennes : pas à n’importe qui, cela reste dans un certain réseau de connaissance.
