Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne Olympe de Gouges.
Préambule : Comparaison des textes DDFF et DDHC
Introduction :
La DDHC a été écrit par Olympe de Gouges juste après la Révolution Française qui a connu
des bouleversements politiques en passant à un nouveau régime avec l’écriture d’une DDHC.
Cependant les femmes n’interviennent pas dans celle-ci, c’est pourquoi Olympe de Gouges
va écrire à nouveau la DDHC en DDFC de façon ironique afin de réclamer l’égalité des sexes
avec un objectif d’universalité qui passe par la reconnaissance des femmes dans la société
avec ainsi une libération de l’emprise tyrannique des hommes.
Cette œuvre est composée d’un épître dédicatoire à la Reine Maire Antoinette, ensuite
d’une adresse aux hommes, puis d’un préambule qui exprime les motifs de la DDFC, si suit la
constitution des 17 articles qui relève une réécriture au féminin dans un style juridique et
pour finir un postambule qui est une exhortation adressée aux femmes.
Plan du texte :
- « les mères » à « Assemblée nationale » :
- « considérant » à « bonheur de tous » :
- « en conséquence » à la fin :
Problématique : En quoi ce préambule justifie-t-il la nécessité de l’égalité entre les hommes
et les femmes dans la Constitution ?
Paragraphe 1 :
- L1 : Olympe de Gouges insiste sur l’urgence d’inclure les femmes dans le texte de la
Constitution.
- « Les mères, les filles, les sœurs » : énumération qui crée un lien biologique qui unis les
femmes entre elles.
- « Les mères, les filles, les sœurs » : énumération à rythme ternaire qui permet d’apporter
une solennité et contribuer à ce rythme emphatique.
- « représentantes de la nation » : périphrase désignant les femmes.
- « représentantes » : féminisation qui désigne l’egalité qui devrait y avoir entre les hommes
et les femmes dans la nation.
- « demandent » : exigent, ce terme relève de l’euphémisme, de la litote et donc une
relecture immédiate de la Constitution.
Paragraphe 2 :
- Elle expose dans ce paragraphe les raisons de son exigence que les femmes soit constitué
d’une Assemblée Constituante.
- Le texte est à la fois une démarche juridique et argumentative.
-Grammaire : « ont résolu d’exposer dans une déclaration solennelle, les droits naturels,
inaliénable et sacrés de la femmes » : proposition principale
a. « afin que » : conjonction de coordination qui introduit la 1er proposition subordonné
circonstancielle de but « constamment présente à tous les membres du corps social, leur
rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ».
Préambule : Comparaison des textes DDFF et DDHC
Introduction :
La DDHC a été écrit par Olympe de Gouges juste après la Révolution Française qui a connu
des bouleversements politiques en passant à un nouveau régime avec l’écriture d’une DDHC.
Cependant les femmes n’interviennent pas dans celle-ci, c’est pourquoi Olympe de Gouges
va écrire à nouveau la DDHC en DDFC de façon ironique afin de réclamer l’égalité des sexes
avec un objectif d’universalité qui passe par la reconnaissance des femmes dans la société
avec ainsi une libération de l’emprise tyrannique des hommes.
Cette œuvre est composée d’un épître dédicatoire à la Reine Maire Antoinette, ensuite
d’une adresse aux hommes, puis d’un préambule qui exprime les motifs de la DDFC, si suit la
constitution des 17 articles qui relève une réécriture au féminin dans un style juridique et
pour finir un postambule qui est une exhortation adressée aux femmes.
Plan du texte :
- « les mères » à « Assemblée nationale » :
- « considérant » à « bonheur de tous » :
- « en conséquence » à la fin :
Problématique : En quoi ce préambule justifie-t-il la nécessité de l’égalité entre les hommes
et les femmes dans la Constitution ?
Paragraphe 1 :
- L1 : Olympe de Gouges insiste sur l’urgence d’inclure les femmes dans le texte de la
Constitution.
- « Les mères, les filles, les sœurs » : énumération qui crée un lien biologique qui unis les
femmes entre elles.
- « Les mères, les filles, les sœurs » : énumération à rythme ternaire qui permet d’apporter
une solennité et contribuer à ce rythme emphatique.
- « représentantes de la nation » : périphrase désignant les femmes.
- « représentantes » : féminisation qui désigne l’egalité qui devrait y avoir entre les hommes
et les femmes dans la nation.
- « demandent » : exigent, ce terme relève de l’euphémisme, de la litote et donc une
relecture immédiate de la Constitution.
Paragraphe 2 :
- Elle expose dans ce paragraphe les raisons de son exigence que les femmes soit constitué
d’une Assemblée Constituante.
- Le texte est à la fois une démarche juridique et argumentative.
-Grammaire : « ont résolu d’exposer dans une déclaration solennelle, les droits naturels,
inaliénable et sacrés de la femmes » : proposition principale
a. « afin que » : conjonction de coordination qui introduit la 1er proposition subordonné
circonstancielle de but « constamment présente à tous les membres du corps social, leur
rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ».