Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne Olympe de Gouges.
Postambule : P29
Introduction :
La DDHC a été écrit par Olympe de Gouges juste après la Révolution Française qui a connu
des bouleversements politiques en passant à un nouveau régime avec l’écriture d’une DDHC.
Cependant les femmes n’interviennent pas dans celle-ci, c’est pourquoi Olympe de Gouges
va écrire à nouveau la DDHC en DDFC de façon ironique afin de réclamer l’égalité des sexes
avec un objectif d’universalité qui passe par la reconnaissance des femmes dans la société
avec ainsi une libération de l’emprise tyrannique des hommes.
Cette œuvre est composée d’un épître dédicatoire à la Reine Maire Antoinette, ensuite
d’une adresse aux hommes, puis d’un préambule qui exprime les motifs de la DDFC, si suit la
constitution des 17 articles qui relève une réécriture au féminin dans un style juridique et
pour finir un postambule qui est une exhortation adressée aux femmes.
Selon elle il faut aller vers la raison lors du siècle des Lumières qui les permettraient de sortir
de leur passivité, historiquement c’est un moment de bascule qu’elle considère comme une
opportunité pour les femmes qui doivent la saisir pour leur propre liberté.
Plan du texte :
- « femme… injustices de l’homme » : exhortation des femmes à l’encontre de la tyrannie
des hommes.
- « la réclamation » à la fin : complicité intellectuelle avec des interlocuteurs qui sont des
femmes avec une distanciation critique par rapport à la religion.
Problématique : Par quels procédés Olympe de Gouges à ainsités les femmes à se révolter
pour créer une Révolution dans la Révolution ?
Paragraphe 1 :
- « Femme » : introduit une forme de proximité par le tutoiement, proximité de
revendication envers la femme.
- « réveille-toi » : impératif à valeur injonctive qui introduit la métaphore du sommeil dans
lequel se trouve les femmes depuis des siècles dans le combat de leur loi.
- « le tocsin de la raison » : il s’agit d’alarmer les femmes et fait appel à la raison critique ainsi
qu’un jugement personnel en lien avec la philosophie des Lumières.
- « se fait entendre » : personnification
- « dans tout l’univers » : hyperbole à but de prise de conscience collective.
- « reconnais tes droits » : pas de connecteur logique entre les phrases, c’est une parataxe
qui permet de marteler ses propos.
- « préjugés, de fanatisme, de superposition et de mensonges » : énumération, période
contenant les préjugés, l’obscurantisme, le fanatisme qui montre les croyances qui ne sont
pas fondé en raison.
- « le flambeau de la vérité » : métaphore qu’elle reprend de Dumarsais avec le flambeau qui
guide le peuple vers l’espoir et ainsi la vérité avec un monde sans inégalité.
- « les nuages de la sottise et de l’usurpation » s’oppose au « flambeau de la vérité ».
- « l’homme esclave à multiplié ses forces, a eu besoin de recourir aux tiennes pour briser ses
fers » : les hommes se sont émancipés et en s’émancipant ont trouvé la justification de la
Postambule : P29
Introduction :
La DDHC a été écrit par Olympe de Gouges juste après la Révolution Française qui a connu
des bouleversements politiques en passant à un nouveau régime avec l’écriture d’une DDHC.
Cependant les femmes n’interviennent pas dans celle-ci, c’est pourquoi Olympe de Gouges
va écrire à nouveau la DDHC en DDFC de façon ironique afin de réclamer l’égalité des sexes
avec un objectif d’universalité qui passe par la reconnaissance des femmes dans la société
avec ainsi une libération de l’emprise tyrannique des hommes.
Cette œuvre est composée d’un épître dédicatoire à la Reine Maire Antoinette, ensuite
d’une adresse aux hommes, puis d’un préambule qui exprime les motifs de la DDFC, si suit la
constitution des 17 articles qui relève une réécriture au féminin dans un style juridique et
pour finir un postambule qui est une exhortation adressée aux femmes.
Selon elle il faut aller vers la raison lors du siècle des Lumières qui les permettraient de sortir
de leur passivité, historiquement c’est un moment de bascule qu’elle considère comme une
opportunité pour les femmes qui doivent la saisir pour leur propre liberté.
Plan du texte :
- « femme… injustices de l’homme » : exhortation des femmes à l’encontre de la tyrannie
des hommes.
- « la réclamation » à la fin : complicité intellectuelle avec des interlocuteurs qui sont des
femmes avec une distanciation critique par rapport à la religion.
Problématique : Par quels procédés Olympe de Gouges à ainsités les femmes à se révolter
pour créer une Révolution dans la Révolution ?
Paragraphe 1 :
- « Femme » : introduit une forme de proximité par le tutoiement, proximité de
revendication envers la femme.
- « réveille-toi » : impératif à valeur injonctive qui introduit la métaphore du sommeil dans
lequel se trouve les femmes depuis des siècles dans le combat de leur loi.
- « le tocsin de la raison » : il s’agit d’alarmer les femmes et fait appel à la raison critique ainsi
qu’un jugement personnel en lien avec la philosophie des Lumières.
- « se fait entendre » : personnification
- « dans tout l’univers » : hyperbole à but de prise de conscience collective.
- « reconnais tes droits » : pas de connecteur logique entre les phrases, c’est une parataxe
qui permet de marteler ses propos.
- « préjugés, de fanatisme, de superposition et de mensonges » : énumération, période
contenant les préjugés, l’obscurantisme, le fanatisme qui montre les croyances qui ne sont
pas fondé en raison.
- « le flambeau de la vérité » : métaphore qu’elle reprend de Dumarsais avec le flambeau qui
guide le peuple vers l’espoir et ainsi la vérité avec un monde sans inégalité.
- « les nuages de la sottise et de l’usurpation » s’oppose au « flambeau de la vérité ».
- « l’homme esclave à multiplié ses forces, a eu besoin de recourir aux tiennes pour briser ses
fers » : les hommes se sont émancipés et en s’émancipant ont trouvé la justification de la