Exposé de psychologie sociale
« Relations intra et inter groupes »
Introduction :
Notre exposé portera sur les relations intra et intergroupes et nous nous
baserons tout particulièrement sur l’expérience de Shérif communément appelée « La
caverne des voleurs » et également sur les différents modèles des relations intra et
intergroupes exposés par Freud, notamment.
On peut dire des « relations intergroupes » pour mieux comprendre ce concept
qu’il s’agit des rapports qu’entretiennent plusieurs groupes ou les membres de ces
groupes entre eux. Les relations, positives ou négatives, entre les groupes se forment
au fur et à mesure de leurs interactions communes. Ces relations intergroupes sont
évidemment basées sur les caractéristiques qui forment chacun des groupes, c'est-à-
dire les relations intragroupes, avant que les groupes entrent en interactions, il faut
que les individus prennent conscience de leur appartenance à un groupe particulier ;
ils obtiennent ce sentiment d’appartenance au moment où ils parviennent à
s’identifier à d’autres membres d’un certain groupe, par des activités ou des goûts
communs par exemple ou encore de mêmes objectifs. On peut ainsi dire que les
relations intra et inter groupes sont liées intrinsèquement et même que les relations
intergroupes sont fonction des relations intragroupes.
Aujourd’hui, le concept de « groupe » correspond à un ensemble de personnes
orientées vers un but commun, mais ce terme de groupe est plutôt récent, c’est
seulement vers le milieu du 18ème siècle que ce terme tend à désigner une « réunion de
personnes ». Le 18ème siècle est ainsi marqué par de profondes transformations à
différents niveaux : structures sociales, idées avec les « Lumières » et les essais de
nombreux grands philosophes, transformations économiques avec la révolution
industrielle, transformations politiques et idéologiques avec notamment l’essor du
libéralisme. Tous ces changements ont alors contribué à un questionnement sur les
individus et leur rassemblement. C’est notamment aux Etats-Unis que les individus
ont commencé à se rassembler pour se protéger, croire ou encore produire, une
véritable culture des associations et des groupes s’est en effet développé
parallèlement à l’avènement d’un régime démocratique qui donnait plus de pouvoirs
et de libertés aux citoyens. Quelques auteurs ont joué un rôle particulièrement
important dans l’étude des groupes au fil du temps et notamment Gustave Le Bon
pour qui le groupe vient d’abord d’une unification des pensées des individus le
constituant ou encore Freud, très attaché à l’étude de la puissance des liens affectifs
dans les groupes.
On peut ainsi se demander : quelles sont les principaux points abordés par M.
Shérif à travers son expérimentation de « la caverne des voleurs » en ce qui concerne
les relations intergroupes, en quoi consiste la méthode expérimentale et que peut-on
dire sur les différents modèles représentatifs des relations intergroupes ?
Nous nous intéresserons tout d’abord aux relations intergroupes en nous
basant tout particulièrement sur l’expérimentation de Shérif de « La caverne des
voleurs » et sur ce que l’on peut retenir à propos de la méthode expérimentale, puis
nous nous interrogerons plus précisément sur les relations intragroupes et les
différents modèles qui les caractérisent.
« Relations intra et inter groupes »
Introduction :
Notre exposé portera sur les relations intra et intergroupes et nous nous
baserons tout particulièrement sur l’expérience de Shérif communément appelée « La
caverne des voleurs » et également sur les différents modèles des relations intra et
intergroupes exposés par Freud, notamment.
On peut dire des « relations intergroupes » pour mieux comprendre ce concept
qu’il s’agit des rapports qu’entretiennent plusieurs groupes ou les membres de ces
groupes entre eux. Les relations, positives ou négatives, entre les groupes se forment
au fur et à mesure de leurs interactions communes. Ces relations intergroupes sont
évidemment basées sur les caractéristiques qui forment chacun des groupes, c'est-à-
dire les relations intragroupes, avant que les groupes entrent en interactions, il faut
que les individus prennent conscience de leur appartenance à un groupe particulier ;
ils obtiennent ce sentiment d’appartenance au moment où ils parviennent à
s’identifier à d’autres membres d’un certain groupe, par des activités ou des goûts
communs par exemple ou encore de mêmes objectifs. On peut ainsi dire que les
relations intra et inter groupes sont liées intrinsèquement et même que les relations
intergroupes sont fonction des relations intragroupes.
Aujourd’hui, le concept de « groupe » correspond à un ensemble de personnes
orientées vers un but commun, mais ce terme de groupe est plutôt récent, c’est
seulement vers le milieu du 18ème siècle que ce terme tend à désigner une « réunion de
personnes ». Le 18ème siècle est ainsi marqué par de profondes transformations à
différents niveaux : structures sociales, idées avec les « Lumières » et les essais de
nombreux grands philosophes, transformations économiques avec la révolution
industrielle, transformations politiques et idéologiques avec notamment l’essor du
libéralisme. Tous ces changements ont alors contribué à un questionnement sur les
individus et leur rassemblement. C’est notamment aux Etats-Unis que les individus
ont commencé à se rassembler pour se protéger, croire ou encore produire, une
véritable culture des associations et des groupes s’est en effet développé
parallèlement à l’avènement d’un régime démocratique qui donnait plus de pouvoirs
et de libertés aux citoyens. Quelques auteurs ont joué un rôle particulièrement
important dans l’étude des groupes au fil du temps et notamment Gustave Le Bon
pour qui le groupe vient d’abord d’une unification des pensées des individus le
constituant ou encore Freud, très attaché à l’étude de la puissance des liens affectifs
dans les groupes.
On peut ainsi se demander : quelles sont les principaux points abordés par M.
Shérif à travers son expérimentation de « la caverne des voleurs » en ce qui concerne
les relations intergroupes, en quoi consiste la méthode expérimentale et que peut-on
dire sur les différents modèles représentatifs des relations intergroupes ?
Nous nous intéresserons tout d’abord aux relations intergroupes en nous
basant tout particulièrement sur l’expérimentation de Shérif de « La caverne des
voleurs » et sur ce que l’on peut retenir à propos de la méthode expérimentale, puis
nous nous interrogerons plus précisément sur les relations intragroupes et les
différents modèles qui les caractérisent.