Samenvatting - La symphonie pastorale – André Gide
Enfermé dans sa maison par une couche de neige, un pasteur commence à écrire
l’histoire qui s’est passée deux ans et demie auparavant …
En rentrant de son travail comme pasteur, il voit quelqu’un qui le cherche pour
l’amener à une vieille qui est en train de mourir. Là, il rencontre une enfant aveugle et
sourde, qui est une parente de cette vieille dame. N’ayant pas d’autre famille, il
promet la voisine de la vieille dame de trouver une solution pour cette enfant, quant à
l’éducation de cette fille. Il emmène cette enfant parce qu’il a l’idée que Dieu l’a
placée sur sa route comme une sorte d’obligation et qu’il ne peut pas s’y soustraire
sans quelque lâcheté.
A la maison, sa femme Amélie n’est pas si contente de la tâche qu’elle reçoit en plus.
Il y a déjà quatre enfants : Jacques l’aîné, Sarah qui a plus de 15 ans, Claude et
Charlotte. Puis, elle n’aime pas être surprise, elle est une personne d’ordre et même
sa charité est réglée comme si l’amour est un trésor épuisable. Les enfants ne
réagissent pas non plus de façon contente, sauf la petite Charlotte, qui donne le
prénom : Gertrude. Le pasteur dit : « Je ramène la brebis perdue ». Mais Amélie lui
demande s’il n’y a pas assez d’enfants dans la maison. Il n’a pas encore pensé de la
garder lui-même mais elle s’en suggère l’idée. Il veut citer quelques paroles du
Christ, mais il ne veut pas s’abriter derrière l’autorité du Livre Saint. Amélie parle de
la fatigue et il sent de la honte, il lui est arrivé plus d’une fois, après des élans
inconsidérés de son zèle. Il lui demande si elle n’avait pas fait la même chose. Et il
lui supplie de ne point faire retomber sur l’innocente un ressentiment que l’aveugle
n’a pas mérité.
Il parle de l’aide que Sarah peut donner et de Jacques qui se passe de ses soins. Il
pense que sa femme aurait accordé, si elle avait eu le temps de réfléchir.
La saleté et la vermine ne font pas de bien au cas. Mais après l’avoir lavée et après
l’avoir coupé les cheveux, Amélie commence un peu à dégeler et à rire.
Gertrude elle-même, elle a l’air inexpressif et au moment qu’on s’efforce d’appeler
son attention, elle se met à geindre, à grogner comme un animal. Le pasteur se sent
envahi par un sentiment d’aversion devant le refus obstiné de cette âme et il regrette
son premier élan.
Le docteur Martens, un ami du pasteur vient le rendre visite. Il parle d’une manière
d’essayer de faire parler Gertrude. Le pasteur essaie cette méthode et parce qu’il n’y
a pas vite de résultats à voir, sa femme n’en a aucune confiance et dit qu’il peut
mieux utiliser son temps pour les autres.
Un jour, le 5 mars, elle commence à sourire. Après le premier résultat, les progrès se
succèdent rapidement. Le pasteur enseigne Gertrude d’abord des idées, plus tard il
commence à causer avec elle. Il l’emmène dehors, où elle pense que le chant des
oiseaux est le bruit de l’air chaud, qui se met à chauffer. Elle en veut le pasteur de
n’avoir pas dit davantage que la terre est si belle que la racontent les oiseaux.
Le pasteur a de la peine d’expliquer les couleurs. Il les compare avec des
instruments d’un orchestre. Le blanc donne des problèmes. Il dit : « C’est seulement
de la lumière ». Pour elle, de la lumière et le chaud sont très près l’un de l’autre.
Enfermé dans sa maison par une couche de neige, un pasteur commence à écrire
l’histoire qui s’est passée deux ans et demie auparavant …
En rentrant de son travail comme pasteur, il voit quelqu’un qui le cherche pour
l’amener à une vieille qui est en train de mourir. Là, il rencontre une enfant aveugle et
sourde, qui est une parente de cette vieille dame. N’ayant pas d’autre famille, il
promet la voisine de la vieille dame de trouver une solution pour cette enfant, quant à
l’éducation de cette fille. Il emmène cette enfant parce qu’il a l’idée que Dieu l’a
placée sur sa route comme une sorte d’obligation et qu’il ne peut pas s’y soustraire
sans quelque lâcheté.
A la maison, sa femme Amélie n’est pas si contente de la tâche qu’elle reçoit en plus.
Il y a déjà quatre enfants : Jacques l’aîné, Sarah qui a plus de 15 ans, Claude et
Charlotte. Puis, elle n’aime pas être surprise, elle est une personne d’ordre et même
sa charité est réglée comme si l’amour est un trésor épuisable. Les enfants ne
réagissent pas non plus de façon contente, sauf la petite Charlotte, qui donne le
prénom : Gertrude. Le pasteur dit : « Je ramène la brebis perdue ». Mais Amélie lui
demande s’il n’y a pas assez d’enfants dans la maison. Il n’a pas encore pensé de la
garder lui-même mais elle s’en suggère l’idée. Il veut citer quelques paroles du
Christ, mais il ne veut pas s’abriter derrière l’autorité du Livre Saint. Amélie parle de
la fatigue et il sent de la honte, il lui est arrivé plus d’une fois, après des élans
inconsidérés de son zèle. Il lui demande si elle n’avait pas fait la même chose. Et il
lui supplie de ne point faire retomber sur l’innocente un ressentiment que l’aveugle
n’a pas mérité.
Il parle de l’aide que Sarah peut donner et de Jacques qui se passe de ses soins. Il
pense que sa femme aurait accordé, si elle avait eu le temps de réfléchir.
La saleté et la vermine ne font pas de bien au cas. Mais après l’avoir lavée et après
l’avoir coupé les cheveux, Amélie commence un peu à dégeler et à rire.
Gertrude elle-même, elle a l’air inexpressif et au moment qu’on s’efforce d’appeler
son attention, elle se met à geindre, à grogner comme un animal. Le pasteur se sent
envahi par un sentiment d’aversion devant le refus obstiné de cette âme et il regrette
son premier élan.
Le docteur Martens, un ami du pasteur vient le rendre visite. Il parle d’une manière
d’essayer de faire parler Gertrude. Le pasteur essaie cette méthode et parce qu’il n’y
a pas vite de résultats à voir, sa femme n’en a aucune confiance et dit qu’il peut
mieux utiliser son temps pour les autres.
Un jour, le 5 mars, elle commence à sourire. Après le premier résultat, les progrès se
succèdent rapidement. Le pasteur enseigne Gertrude d’abord des idées, plus tard il
commence à causer avec elle. Il l’emmène dehors, où elle pense que le chant des
oiseaux est le bruit de l’air chaud, qui se met à chauffer. Elle en veut le pasteur de
n’avoir pas dit davantage que la terre est si belle que la racontent les oiseaux.
Le pasteur a de la peine d’expliquer les couleurs. Il les compare avec des
instruments d’un orchestre. Le blanc donne des problèmes. Il dit : « C’est seulement
de la lumière ». Pour elle, de la lumière et le chaud sont très près l’un de l’autre.
