CM ESTHÉTIQUE DU CINÉMA
Introduction :
→ esthétique : -philosophie (Beau Art)
- aïsthêtikos = sensible
Emanuele Coccia : “Sensible, c’est notre corps même qu’il l’est”
Aristote : “Si l’on avait aucune sensation, on ne pourrait rien apprendre ni
comprendre”
Ouverture → West Side Story (Steven S.) :
“All. année zéro” - Rosselini
“Citizen Kane” - O. Welles
“Guerre des mondes” - J.J
→ Parallèle dans l’ouverture
Problème figuratif : Nicole Brevet, “Ce qui compte c’est l’attention portée aux films”
Qui pense l'art ? : “L’historien s’agace d’entendre le philosophe surinterpreter,
lequel en retour, plaffe de voir son compère additionner sans déboucher”
Gilles Deleuze : “Les seuls gens capables de réfléchir effectivement sur le cinéma ce
sont les cinéastes, les critiques ou bien ceux qui aiment le cinéma”
J-L Godart : “Le cinéma est une pensée qui prend forme, une forme qui pense”
→ “L'expérience ultime de l’art est fragmentaire. L’art nous projette en
1000 morceaux pour nous ramener en un seul”
I) Poétique de l’ombre et de la lumière
3 Types de lumières : naturelle, artificielle et combiné
- Henri Alekan : Des lumières et des ombres
- J. Loiseleux : La lumière au cinéma
→ “Lost Highway”, David Lynch
→ “My Darling Clementine”, John Ford :
, - Influencé par l'expressionnisme allemand
- Lumière extrêmement travaillée + temporalité
- Ambiance changeante en fonction de la lumière
→ Hou Hsiao-Hsie, “ Millennium Mambo” : Scène d’intro
II) Esthétique de la distance :
L’échelle de plan dépend de la focal, la distance, l’écran, etc…
J-L Godart : “Ca permet de voir le petit en gros [...] “tiens il faudrait voir un peu ca de près pour voir
de quoi il s’agit” Et bien les films, pour moi, ca sert à ca”
Gilles Deleuze : “Le cadre permet une déterritorialisation de l’image”
Différentes focales :
- > 32mm → Focale Courte, le grand angle fait rentrer plus de lumière
Introduction :
→ esthétique : -philosophie (Beau Art)
- aïsthêtikos = sensible
Emanuele Coccia : “Sensible, c’est notre corps même qu’il l’est”
Aristote : “Si l’on avait aucune sensation, on ne pourrait rien apprendre ni
comprendre”
Ouverture → West Side Story (Steven S.) :
“All. année zéro” - Rosselini
“Citizen Kane” - O. Welles
“Guerre des mondes” - J.J
→ Parallèle dans l’ouverture
Problème figuratif : Nicole Brevet, “Ce qui compte c’est l’attention portée aux films”
Qui pense l'art ? : “L’historien s’agace d’entendre le philosophe surinterpreter,
lequel en retour, plaffe de voir son compère additionner sans déboucher”
Gilles Deleuze : “Les seuls gens capables de réfléchir effectivement sur le cinéma ce
sont les cinéastes, les critiques ou bien ceux qui aiment le cinéma”
J-L Godart : “Le cinéma est une pensée qui prend forme, une forme qui pense”
→ “L'expérience ultime de l’art est fragmentaire. L’art nous projette en
1000 morceaux pour nous ramener en un seul”
I) Poétique de l’ombre et de la lumière
3 Types de lumières : naturelle, artificielle et combiné
- Henri Alekan : Des lumières et des ombres
- J. Loiseleux : La lumière au cinéma
→ “Lost Highway”, David Lynch
→ “My Darling Clementine”, John Ford :
, - Influencé par l'expressionnisme allemand
- Lumière extrêmement travaillée + temporalité
- Ambiance changeante en fonction de la lumière
→ Hou Hsiao-Hsie, “ Millennium Mambo” : Scène d’intro
II) Esthétique de la distance :
L’échelle de plan dépend de la focal, la distance, l’écran, etc…
J-L Godart : “Ca permet de voir le petit en gros [...] “tiens il faudrait voir un peu ca de près pour voir
de quoi il s’agit” Et bien les films, pour moi, ca sert à ca”
Gilles Deleuze : “Le cadre permet une déterritorialisation de l’image”
Différentes focales :
- > 32mm → Focale Courte, le grand angle fait rentrer plus de lumière