PHILOSOPHIE
TRAITE THEOLOGICO-POLITIQUE DE SPINOZA (PREFACE)
INTRODUCTION :
- Ce traité parle des rapports entre l’Etat et la religion, donc entre l’Eglise et l’Etat.
- Thèse : la politisation de la religion est nécessairement source de violence et de
conflits sociaux :
° Vivre en paix = séparer Etat et Eglise : idée de laïcité
° Lorsqu’une Eglise est liée au pouvoir, les athées et autres religions sont forcément
réprimées, car cela signifie de contester le pouvoir = atteinte à la liberté de penser et de
conscience.
° La liberté de penser (importante en philo) et la liberté religieuse impliquent la
séparation de l’Eglise et l’Etat = pour que la religion ne soit pas un élément de pouvoir,
afin de garantir la liberté de penser et de culte
° Si la religion est obligatoire, alors elle devient une atteinte à la liberté de
conscience.
- La philosophie a pour condition la séparation des 2 concepts.
- La liberté de penser est intrinsèque à la nature humaine, il est impossible d’empêcher
qlq de penser = la plus grande agression possible.
I. Les causes et les caractéristiques de la superstition :
- La superstition n’est pas égale à la religion, la croyance en Dieu signifie de connaître
les lois de la nature, car Dieu crée la nature
- La superstition est liée à l’impuissance, c’est-à-dire une différence entre les désirs et
les moyens. L’impuissance vient des désirs immodérés.
- Être superstitieux = voir le monde comme un ensemble de signes (significations), et
non comme un ensemble de causes.
- Miracles n’est pas égale aux causes = le miracle serait contre les lois de la nature, ce qui
est impossible.
II. Exemple : Alexandre le Grand :
- Quand ALG gagnait une bataille, il était sûr que c’était grâce à ses forces et ses
stratégies militaires MAIS quand il sentait qu’il perdait, il faisait appel aux religieux afin
de le guider.
- Même l’Homme le plus puissant, quand il a un désir de conquête énorme (guerre
absolue), il sera forcément mis en échec, ce qui le mènera à devenir superstitieux.
III. Transition :
- Les caractéristiques de la superstition vont entraîner des conséquences politiques.
- La superstition constitue une entrave à la pensée. Si on arrive à inspirer une
superstition collective on va dominer la foule.
TRAITE THEOLOGICO-POLITIQUE DE SPINOZA (PREFACE)
INTRODUCTION :
- Ce traité parle des rapports entre l’Etat et la religion, donc entre l’Eglise et l’Etat.
- Thèse : la politisation de la religion est nécessairement source de violence et de
conflits sociaux :
° Vivre en paix = séparer Etat et Eglise : idée de laïcité
° Lorsqu’une Eglise est liée au pouvoir, les athées et autres religions sont forcément
réprimées, car cela signifie de contester le pouvoir = atteinte à la liberté de penser et de
conscience.
° La liberté de penser (importante en philo) et la liberté religieuse impliquent la
séparation de l’Eglise et l’Etat = pour que la religion ne soit pas un élément de pouvoir,
afin de garantir la liberté de penser et de culte
° Si la religion est obligatoire, alors elle devient une atteinte à la liberté de
conscience.
- La philosophie a pour condition la séparation des 2 concepts.
- La liberté de penser est intrinsèque à la nature humaine, il est impossible d’empêcher
qlq de penser = la plus grande agression possible.
I. Les causes et les caractéristiques de la superstition :
- La superstition n’est pas égale à la religion, la croyance en Dieu signifie de connaître
les lois de la nature, car Dieu crée la nature
- La superstition est liée à l’impuissance, c’est-à-dire une différence entre les désirs et
les moyens. L’impuissance vient des désirs immodérés.
- Être superstitieux = voir le monde comme un ensemble de signes (significations), et
non comme un ensemble de causes.
- Miracles n’est pas égale aux causes = le miracle serait contre les lois de la nature, ce qui
est impossible.
II. Exemple : Alexandre le Grand :
- Quand ALG gagnait une bataille, il était sûr que c’était grâce à ses forces et ses
stratégies militaires MAIS quand il sentait qu’il perdait, il faisait appel aux religieux afin
de le guider.
- Même l’Homme le plus puissant, quand il a un désir de conquête énorme (guerre
absolue), il sera forcément mis en échec, ce qui le mènera à devenir superstitieux.
III. Transition :
- Les caractéristiques de la superstition vont entraîner des conséquences politiques.
- La superstition constitue une entrave à la pensée. Si on arrive à inspirer une
superstition collective on va dominer la foule.